M – A votre avis, que font-ils ?
L – McKay, ce ne sont pas nos affaires.
M – Attendez, elle nous vire au moment d’enlever son tee-shirt et cela fait plus de vingt minutes qu’ils sont seuls et à moitié nus voire plus vu le temps. Je suis curieux, c’est tout.
L – Gardez vos fantasmes pour vous OK ?
M – Et vous, Beckett ? Qu’en dîtes-vous ?
B – Et merde, pourquoi moi ? Ils sont assez grands pour savoir ce qu’ils font, non ? On n’a pas à s’en mêler. Je considère qu’il est malsain de rester devant cette porte à attendre qu’ils aient fini, quoiqu’ils aient bien pu commencer.
M – Vous êtes désespérants. Je veux savoir.
L se mettant entre lui et la porte– Stop !! Un pas de plus et je vous abas sur place.
M l’air dédaigneux – Et avec quoi, gros malin ? Vous n’avez même pas un lance-pierre sur vous.
L – Je suis un militaire, ne l’oubliez pas. Je connais plus de cents manières de tuer un homme à mains nues. Et si ça ne suffisait pas, j’ai ceci sur moi.
Lorne sorti un objet jaune de sa poche. McKay passa de l’air dédaigneux à l’air paniqué. Il s’enfuit précipitamment.
M – Euh tiens, suis-je bête. J’ai une expérience en cours et je n’ai pas consulté les résultats. J’y vais de ce pas.
Et il parti vers son labo avec une célérité qui lui était jusque-là inconnue.
B – Sans être indiscret, comment avez-vous fait ?
Lorne lui lança l’objet en question.
B – Mais c’est un citron en plastique !! Je sais qu’il est allergique au citron mais tout de même, ce n’est que du plastique. Il n’y est pas allergique. Comment se fait-il qu’il n’est rien remarqué ?
La seule réponse qu’il obtint fut le large sourire jusqu’aux oreilles du major. Puis ils décidèrent de laisser les laisser seuls, Lorne s’assurant au cas où que la pièce ne puisse s’ouvrir que de l’intérieur.