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 strip poker entre John et Elisabeth partie 4

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The Silent Force

The Silent Force


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MessageSujet: strip poker entre John et Elisabeth partie 4   strip poker entre John et Elisabeth partie 4 Icon_minitimeMer 14 Fév - 2:09

Une goutte de sueur perlait sur le front de John. Ses cartes n’étaient pas mauvaises mais pas vraiment suffisantes pour vaincre Elisabeth. Du fait de sa concentration sur le jeu, son boxer avait perdu du volume. Nul ne sait si Elisabeth fut déçue de la perte du spectacle ou heureuse de pouvoir enfin se concentrer sur le jeu. Son regard ne trahissait aucune émotion. Même sa respiration, nettement visible depuis que son tee-shirt l’avait quittée, ne pouvait permettre de dire si elle était ou non en difficulté. Son jeu n’était pas extraordinaire, tout comme celui de John. L’état de leur jeu explique pourquoi aucun d’entre eux n’osa prendre l’initiative de poser son jeu, chacun laissant cette responsabilité à l’autre.
John remarqua un léger tic sur le visage de son adversaire. Comme il connaissait un grand nombre de ses mimiques, il devina qu’elle n’avait pas un très bon jeu. Il hésita à poser. S’il perdait, il finirait littéralement à poil et il le savait mieux que quiconque. L’idée de se retrouver nu comme un ver devant Elisabeth l’enchantait autant qu’elle lui déplaisait. Cette idée était agréable car ce dont il rêvait depuis des semaines se réaliserait sûrement, tant les gestes d’Elisabeth révélaient son excitation. Mais elle était également foireuse car elle signifiait sa défaite, mot qui était banni de son vocabulaire. Il se décida à poser : un valet, deux huit, un deux et un quatre. Regardant Elisabeth, il se mit à prier tous les Dieux qu’il connaissait pour que son jeu soit vainqueur. Partiellement soulagé (il avait fait le plus dur), il laissa tomber sa concentration et regarda à nouveau avec délice le corps d’Elisabeth. Dernier moment de plaisir avant la défaite ?

Elle le regardait droit dans les yeux, l’obligeant à faire de même. Un deux. Un quatre et deux huit. Elle ne posa pas sa dernière carte. Elle la remit directement dans la pioche sans que John ne puisse l’en empêcher. Sans se démonter, elle glissa ses mains derrière son dos. Le bruit de l’attache de son soutien-gorge qui venait enfin d’être défaite provoqua en lui un frisson qui parcouru tout le long de sa colonne vertébrale. Tout en le fixant encore et toujours dans les yeux, elle fit lentement tomber une puis deux bretelles puis elle croisa légèrement les bras afin de faire tomber dans ses mains l’objet que John convoitait depuis tant de temps. Curieusement, celui-ci eut du mal à déglutir. Sa gorge était devenue sèche, très sèche. Ses yeux étaient tellement écarquillés qu’on les aurait crus sur le point de sortir de leur orbite. L’élastique de son boxer vivait ses derniers instants, dans quelques secondes, il craquerait. Elle était là, face à lui, vêtue d’un unique shorty en dentelle. Il avait à portée de mains ses hanches généreuses, son décolleté d’une profondeur infinie, ses cuisses si joliment galbées, ses épaules si sensuelles… Mais comment se faisait-il que son boxer soit toujours en un seul morceau ? Il aurait du exploser depuis longtemps !!!!! Une petite tâche sombre venait d’ailleurs d’y apparaître. Il était si excité qu’en le voyant, on le croyait assis sur une machine à laver en marche. Mais pourquoi résistait-il encore, ce con ? Tout simplement car la vision d’Elisabeth quasi nue l’avait déconnecté de la réalité : son cerveau n’était plus irrigué. Il en avait oublié le but de la partie, lequel d’entre eux devait distribuer, il était sur une autre planète.

E – Attention John, vous allez baver sur les cartes.

Le ton innocent et bizarrement décontracté d’Elisabeth, totalement hors propos dans un tel contexte, lui remit partiellement les idées en place.

J – Hein quoi ? Euh oui, ahhh oui c’est vrai. Euuuuuh, c’est à vous de donner je crois.

Elle ramassa les cartes lentement, très lentement, sachant que chacun de ses gestes avait un effet dévastateur sur la concentration, enfin ce qu’il en reste, de John. Sur la sienne aussi d’ailleurs. Au moment de ramasser la dernière carte, curieusement la plus proche de John, elle ne put résister d’avantage, le titillement de son bas-ventre était devenu trop fort. Elle l’attrapa par le poignet et le tira vers elle avec une telle vigueur qu’elle en tomba à la renverse. Elle était maintenant allongée sur le sol, vêtue d’un unique shorty, avec John en boxer sur elle. Avant que celui-ci ne réagisse, elle colla ses lèvres couleur cerise sur celles de John et lui offrit sa langue goût de miel avec le plus de fougue, de passion et de tendresse dont elle était capable. John ne se le fit pas dire deux fois ; une fois passé l’instant de surprise, il la couvrit de baisers. Tout en embrassant son corps, s’attardant surtout sur le creux entre ses seins et le nombril, provoquant en elle d’innombrables soupirs, il descendit vers son mont-de-Vénus et lui enleva rapidement son shorty qui n’avait plus rien à faire sinon se casser d’ici vite fait. Ses coups de langue commencèrent lentement, tournant autour de son entrecuisses pour faire croitre d’avantage l’excitation et le désir. Accélérant le rythme, léchant, entrant et tourbillonnant en elle, il la faisait se tortiller de plaisir. Pendant ce temps, ses mains la caressait là où elle le désirait sans même qu’elle n’ai à le guider. Il savait parfaitement où et comment lui donner du plaisir. Les caresse associées à ses coups de langue mêlant douceur et vigueur donnèrent à Elisabeth l’impression que son esprit voyageait en dehors de son enveloppe charnelle. Quand il voulu l’embrasser sur d’autres parties de son corps, elle lui attrapa la tête et la colla contre son pubis, l’incitant à reprendre de plus belle ses coups de langue qui la faisaient chavirer. Il ne se fit pas prier ; il recommença, prenant soin d’alterner les zones qu’il embrassait et de changer de rythme en fonction des soupirs qu’elle ne cessait de lâcher. Elle devint totalement lascive, lui laissant le loisir de s’occuper de son corps comme il l’entendait. Ce qu’elle préférait, c’était quand, en même temps qu’il donnait un coup de langue, il passait une main sur un sein et l’autre dans sa chute de reins. A chaque fois, elle était emportée par un tourbillon de frissons et de plaisir.
Quand il commença à remonter vers ses seins qui réclamaient également sa langue si habile, le naturel de chef d’Elisabeth voulu reprendre les commandes : d’un coup de rein énergique, elle envoya voler John qui se retrouva alors sur le dos, Elisabeth sur lui.

Le feu qui lui brûlait les reins était de plus en plus fort. Leurs langues n’arrêtaient pas de se rencontrer violemment, leur arrachant de profonds gémissements. N’en pouvant plus, elle recula et lui arracha son boxer, révélant ainsi son sexe dressé et agité de soubresauts constants. Son regard devint fournaise. Se passant la langue sur la lèvre supérieure, elle lui prit la queue en main et entreprit de la lécher de bas en haut puis de haut en bas, passant par les côtés, lui titillant le gland avec le bout de sa langue qu’elle aimait enrouler autour de son sexe en érection. Elle préférait de loin se le mettre en bouche, accélérant et ralentissant, faisant onduler sa langue. Le dernier coup de langue juste à droite du frein lui arracha un râle de plaisir. Pendant ce temps, il caressait tout ce qui passait à proximité de ses mains : cheveux, nuque, épaules, seins… Elle les dominait, lui et son plaisir. Tout en continuant baisers et caresses, elle vint s’empaler sur son sexe pointé droit vers le ciel. Elle était assise sur lui, le corps en arrière, lui offrant une vue imprenable sur ses cuisses écartées. Elle se mit à aller…et venir…et aller…le corps cambrer à l’extrême pour accentuer d’avantage le plaisir. Il agitait frénétiquement le bassin, les mains posées sur les hanches d’Elisabeth. Leurs soupirs étaient de plus en plus intenses et rapprochés dans le temps.
Elle sentait la chaleur présente entre ses reins grandir au fur et à mesure de ses allers-retours. Cette chaleur lui envahit subitement l’intégralité de son corps, lequel fut agité de tremblements incontrôlables pendant une dizaine de secondes. Elle ne put réprimer un long soupir qui indiquait clairement qu’il s’agissait du meilleur orgasme de toute son existence. John avait poussé le même cri salvateur quelques instants plus tôt. Après avoir joui en elle, il entreprit de la lécher à nouveau. La réaction d’Elisabeth ne se fit pas attendre.

E – Oh oui vas-y, achève-moi !!!!!!

Il s’exécuta avec le plus grand des plaisirs. Totalement lascive, elle jouissait à chaque coup de langue. Chacun profitait de cet instant pour retrouver des forces en vue du second round.
En tant que chef, ce fut Elisabeth qui donna le top départ, se mettant à quatre pattes, dos à John, ondulant fortement des hanches. L’œil lubrique, la bave aux lèvres, il vint la pénétrer de nouveau. La position inversait les rôles : c’était lui qui contrôlait le plaisir d’Elisabeth. La position lui offrait une vision enchanteresse de la chute de reins de celle-ci mais surtout il pouvait admirer le tatouage qui y figurait. D’une longueur de quinze centimètres pour dix de largeur, il représentait un scorpion mâle sur le point d’étendre son dard en direction de l’ennemi auquel il faisait face. Ses pinces, acérées et tranchantes, menaçaient d’arracher ou de découper tout ce qui passait à proximité. Cette vue donna à John l’impression que le scorpion allait lui couper la queue en deux.
Il n’en revenait pas de voir un tel tatouage dans le bas du dos d’Elisabeth. Il ne l’imaginait pas comme ça. En même temps, il ne l’imaginait pas non plus l’affrontant au strip-poker puis lui faisant l’amour peu après. Il chassa ses pensées de son esprit, se concentrant sur le plaisir qu’il offrait à Elisabeth ainsi qu’à lui-même. Cette fois-ci, l’orgasme fut simultané et encore plus intense que le premier. Totalement hors contrôle, Elisabeth se mit à caresser le corps de John avec ses seins et frotta ses tétons contre son pénis encore en érection. Dans un ultime soupir, ils s’écroulèrent. Elisabeth ne revenait pas d’avoir vaincu l’endurance d’un homme tel que lui : elle avait épuisé l’homme le plus costaud de la base (Ronon excepté, mais elle ne lui ferait pas subir ce qu’elle a fait à John). Elle se sentit envahie d’une immense fierté : fierté de l’avoir affronté au poker, fierté d’avoir enfin osé lui faire l’amour, fierté de l’avoir épuisé. Ils s’embrassèrent tendrement et longuement puis s’endormirent, Elisabeth appuyant son dos contre le torse imberbe et toujours nu de John.
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