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 Dr House : Bons Baisers de House

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The Silent Force

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Dr House : Bons Baisers de House Empty
MessageSujet: Dr House : Bons Baisers de House   Dr House : Bons Baisers de House Icon_minitimeMer 11 Juil - 12:57

Bons baisers de House

Disclaimer : Aucun des personnages cités ne m’appartient, même pas Cameron (hélas)
Saison : Une, quand Stacy est de retour
Ship : Hameron mais pas seulement

Résumé : C’est l’anniversaire de House. Cameron lui offre un cadeau des plus agréables. Mais Cuddy et Stacy, qui est de retour, ne l’entendent pas de cette oreille.


Cuddy – Dr House
House (ironique) – Cette chère Cuddy !! Comment allez-vous ?? Cela fait plaisir de vous voir.
Cu – Je vais bien merci, mais j’irais mieux quand vous serez à jour dans vos consultations. Vous me devez encore 15 heures cette semaine.
H – 15 heures ?? Mais on est vendredi !! Ca fait cinq heures de consult’ par jour !! Vous voulez ma mort ??
Cu – Voyez-vous ça…Le grand Gregory House qui recule face à un défi…Quand Cameron saura ça…
H – Vous n’allez pas faire ça ??
Cu (lui tendant un dossier) – A plus tard, Docteur House…

Il la regarda s’éloigner en la maudissant, bien que la vue de son déhanché tempéra sa mauvaise humeur naissante. Il préfèrerait certainement se faire fouetter par un Balrog en rut que d’aller à ces maudites consultations. Mais son refus ferait trop plaisir à Cuddy. A contrecœur, il se dirigea vers la salle n°1 et y trouva un homme, la trentaine, qui se plaignait de crampes après son footing de 12 kilomètres. Après avoir « soigné » son patient, il s’en alla voir Wilson et croisa Cameron qui lui adressa un regard noir.

H – J’adore la tendresse de votre regard. Quelle en est l’origine ?
Allison – De ma grand-mère, elle est sicilienne.
H – Cameron…
Al – Je vous ai vu.
H – Moi aussi, je vous vois. Je ne vous foudroie pas du regard pour autant.
Al – Je vous ai vu reluquer la chute de reins de Cuddy.
H – Ah ça…Que voulez-vous, il faut bien avoir une source de motivation quelque part. C’est ça qui vous énerve ??
Al – Oui. Vous êtes dans un hôpital. Vous n’avez pas vous conduire de la sorte.
H – Serait-ce de la jalousie que je perçois dans votre voix ??
Al – Hein ?? Euh mais non, enfin je…Foreman veut nous voir, il ne manque plus que vous.
H – Foreman prend des initiatives ?? Il nous fait sa crise d’ado ou quoi ??

Quelques instants plus tard, tous se trouvaient dans la salle de réunion. Greg chipa des mains de Chase ses mots-croisés, soulevant une vive indignation de ce dernier.

Chase – Ehhhhhhhhhhhhhhhh !! Je n’ai pas fini.
H – C’est marrant ça. A « corps exerçant une attraction puissante », vous avez mis Kate Walsh.
Ch – Et alors ??
H – Alors relisez le thème. Vos mots-croisés concernent l’astronomie.
Ch – Pffffffffffff.

House remarqua enfin la table recouverte d’un délicieux fondant au chocolat et d’une bouteille de champagne.

H – Que fête-t-on ?? Chase a perdu une dent de lait ??
Foreman – Cela fait un an jour pour jour que l’on travaille ensemble. J’ai trouvé sympa de marquer le coup.
H (prenant la coupe que lui tendait F) – D’habitude, ce sont les femmes qui se souviennent des anniversaires inutiles. (S’adressant à Allison) Sans vouloir vous vexer…
Al – Je me souviens que votre anniversaire est dans trois semaines. C’est aussi un anniversaire inutile ??
H – Hum non. Celui-là vous pouvez vous en souvenir. Enfin, ça dépend des cadeaux évidemment !!

Ils passèrent l’heure suivante à déguster le fameux gâteau fait par Cameron.

H – Vous dîtes que ce gâteau a été fait avec amour…Qui est l’heureux élu ??

Cameron devint aussi rouge que le célèbre tee-shirt d’Elisabeth Weir (cf Stargate Atlantis). Elle commença à balbutier quelque chose quand Cuddy vint involontairement lui sauver la mise.

Cu – Laissez-moi deviner. (Désignant le gâteau) vous expérimentez un nouveau traitement, c’est ça ??
H (la bouche pleine) – Ejate. C’est excellent pour le moral et la bonne humeur. Vous devriez essayer…
Cu – J’apprécie que vous vous souciiez de ma santé mais il y a des cas plus urgents dans cet hôpital. Au boulot, House.
C – Seulement House ? Donc nous, on peut continuer à s’amuser ??
Cu – Docteur Chase, si vous faites ça, vous connaîtrez le sens des mots « consultations à vie ». Docteur Cameron, vous allez bien ?? Vous avez une drôle de couleur.
H – Ce n’est rien, elle a juste été contaminée par Cupidon.
Cu – Ohhhhh…
Al – Moi ?? Mais non…
H – Voyez, elle est rouge, sa respiration s’est accélérée et ses yeux papillonnent.
Cu – Comment faîtes-vous pour voir que sa respiration s’est accélérée ? Je ne vois rien moi.
H – Je suis médecin, ne l’oubliez pas. Non, je plaisante. En fait, sa poitrine se soulève à un rythme plus soutenu que d’habitude, d’où ma conclusion.
Al – Vous regardez mes seins ??
H – Bin oui. Vous avez une magnifique poitrine, il serait idiot de se priver d’un tel spectacle !!
Cu – Vous avez dit « plus que d’habitude ». Dois-je en conclure que vous passer votre temps à lui reluquer la poitrine ??
H (regardant Allison qui avait viré au rouge écarlate) – Bon, c’est pas tout ça, mais comme vous l’avez si bien dit, des mourants attendent qu’on les achève. A plus tard.

Les trois semaines précédentes l’anniversaire de House furent d’un ennui mortel. Aucune SEP, dégénérescence cellulaire ou cérébrale, aucun rein défectueux sans que l’on sache pourquoi. Rien. Le néant total. House vécut donc un enfer ponctué de gamins plein de morve gluante ou de jolies nymphettes venant le voir car elles ne comprennent pas pourquoi elles n’ont plus leurs règles depuis trois mois.

Veille de son anniversaire, salle de réunion.

F – Alors, vous savez ce que vous allez offrir à House ??
Ch – Un disque de Jazz. Parait qu’il adore ça. Et toi ??
F – Trouver un truc qui lui plaira relève des douze travaux d’Hercule. Mais j’ai pensé à des places pour la finale NBA.
Ch – House fan de basket?? J’ignorais.
F – Et toi, Cameron, que vas-tu lui offrir ??
Al (sortant de ses pensées) – Hum ??
F – Ton cadeau pour House ?? Qu’est-ce que c’est ??
Al – Moi.
Ch (s’étouffant avec son café) – Qu…Quoi ??
F – J’ai du mal entendre. Tu vas t’offrir à lui ??
Al – D’une certaine manière…
Ch – Comment ça, d’une certaine manière ??
Al – Serais-tu jaloux ??
F – Fais gaffe à ta réponse mon pote sinon je raconte tout à ta petite infirmière.
Ch – Quelle infirmière ??
Al – Ne crois pas que l’on ignore pour ton histoire avec cette petite Morrison.
Ch – Non je ne suis pas jaloux. Je me demande juste comment tu vas faire pour lui offrir ce « cadeau » alors que tu es paralysée dès qu’il est dans la même pièce que toi…
H (entrant) – Qui est paralysé ??
F – Jennifer Morrison. Mais ne vous inquiétez pas, Chase est sur son cas.
Al – Dans tous les sens du terme d’ailleurs.
H – Intéressant…Mais je croyais que vous fantasmiez sur Kate Walsh.
Ch – Justement, ce n’est qu’un fantasme. Et le premier qui en parle à Jennifer se retrouvera au service des grands brûlés en tant que patient.
Al – Charmant. Au fait, pourquoi êtes-vous ici ?? Vous avez trouvé un cas inexplicable à nous soumettre ??

Jamais, au grand jamais, il n’avouera qu’elle lui manquait et que de ne pas la voir à cause des consultations lui était insupportable. Il inventa une excuse « housienne » et s’en alla, non sans avoir fait remarquer à Cameron qu’il adorait son nouveau parfum, parfum qu’elle mettait pour la première fois. Elle fut étonnée voire même bouleversée qu’il s’en soit aperçu. Elle resta ainsi plongée dans ses pensées sous les regards amusés de Foreman et Chase.
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MessageSujet: Re: Dr House : Bons Baisers de House   Dr House : Bons Baisers de House Icon_minitimeMer 11 Juil - 12:58

Chapitre 2 :

Le lendemain, House arriva avec une heure de retard. Quand il franchit les portes de l’hôpital, il fut accueillit par Cuddy qui, d’après son regard, s’apprêtait à l’abattre sur place. Alors qu’elle ouvrit la bouche pour le sermonner, House prit les devants et lui expliqua que ce retard était le cadeau d’anniversaire qu’il s’était offert à lui-même. Cuddy en resta bouche bée. Comme elle ne répliqua rien, House en profita quelque peu.

H – C’est mon anniversaire, vous êtes sensée m’offrir un cadeau. Je ne parle pas des éternelles babioles inutiles à 3.99 $ que l’on offre hypocritement et que l’on jette au bout de trois jours. Je vous parle de vrais cadeaux. Et qu’est-ce que je vois ?? Un décolleté minuscule qui dévoile à peine la naissance de vos seins. C’est un cadeau ridicule. Si vous n’avez rien d’autre à m’offrir, je m’en vais.
Cu (piquée au vif) – Mon décolleté ne vous plait pas ?? C’est bien la première fois que je vous entends tenir de tels propos. Au fait, j’ai effectivement un cadeau digne d’intérêt pour vous. Mais vous ne le saurez que si vous m’invitez à dîner ce soir.
H – Un dîner ?? Qu’est-ce que vous avez fumé pour avoir une idée aussi tordue ?? Et d’abord, qui me dit que vous avez réellement un cadeau pour moi ??
Cu (lui chuchotant à l’oreille) – Venez dîner et vous saurez.
H – Vous me draguez ou quoi ?
Cu – Hahaha. Allons, ne prenez pas vos rêves pour la réalité. Alors, vous êtes libre pour ce soir ou pas ?
H – Vous me demandez si j’accepte de payer de ma personne pour avoir un cadeau. Hum…

House, n’aimant pas que l’on force la main, accepta son offre mais décala le dîner au lendemain. Ainsi, c’est lui qui fixait le jour du rendez-vous et non Cuddy. Mais en réalité, il n’acceptait pas le dîner, il acceptait d’affronter une épreuve afin d’avoir une récompense : son cadeau. La curiosité l’avait emporté. De plus, il pourrait obtenir des détails intéressants sur elle et s’en servir lors de « négociations » ultérieures.

Se demandant quel pouvait bien être ce fameux cadeau, il entra dans la salle de réunion et tomba nez à nez avec une vision enchanteresse. Cameron lui tournait le dos, vêtue d’un pantalon en cuir des plus sexy. A la vue de ses fesses divinement bien mises en valeur dans ce pantalon, le cœur de House manqua un battement. Non, en fait, il en manqua deux. Elle se retourna et se déplaça mais le regard de House restait fixé au même endroit, bien que Cameron n’y soit plus. House avait comme une absence…Quand son cerveau parvint à se reconnecter à la réalité, House essaya tant bien que mal de ne pas laisser transparaitre son trouble. Ce fut difficile pour deux raisons. La première, il n’était pas encore remit de sa vision précédente. La seconde, c’est que Cameron de face était encore plus charmante et envoûtante que de dos. Si en bas, elle portait un pantalon en cuir, en haut, elle portait un corset noir en velours avec des reflets violacés sur les côtés. Le pourtour de ses seins était souligné par un fin ruban en dentelle couleur vanille. Le décolleté était sublime : ni trop léger (faut bien montrer ce qu’il y a à montrer), ni trop profond (garder un peu de mystère, telle est la solution). C’était le compromis parfait : on voyait la naissance de ses seins et le début de leurs courbes ; le décolleté s’arrêtait là où le charme laissait place à la vulgarité. Charmante sans sombrer dans la vulgarité. Cameron était tout simplement sublime. Le velours épousait à la perfection le contour de ses seins magnifiquement galbés et mettait en valeur ses hanches qui avaient ainsi trouvé le meilleur moyen d’exprimer leur beauté.

House resta subjugué par tant d’élégance pendant quelques secondes. Jamais il n’avait supposé que Cameron puisse un jour se vêtir d’une manière aussi sensuelle, aussi féminine. Quand il réussit enfin à reconnecter tous ses neurones, il la salua.

H – Bonjour Cameron. Laissez-moi deviner, vous voulez une augmentation ?? Désolé mais c’est à Cuddy qu’il faut faire du charme, pas à moi. Mais si vous allez la voir, je vous conseille de trouver des arguments…différents.
Al – Je ne veux pas d’augmentation. Ceci dit, si vous m’en proposez une…
H – Cameron…
Al (les mains sur les hanches) – Joyeux anniversaire House. Ceci est votre cadeau d’anniversaire. Profitez-en bien car demain, je m’habille de nouveau comme avant.
H – Vous allez me dire que mon cadeau, c’est votre décolleté ??
Al – Pas seulement le décolleté. La tenue entière. Je sais que vous adorez ce genre de vêtements. Alors comme cadeau, je les porte pendant la totalité de la journée et je vous laisse le soin de me déshabiller du regard à volonté.
H – Waouh. Je ne sais que dire. Ah si, je sais : normalement, un cadeau, ça se déballe…
Al – Vous faîtes référence à ce petit nœud situé entre mes seins ?? Désolée, vous pouvez regarder, en aucun cas toucher.
H – Ehhhh, c’est pas juste. En plus, vous avez dit que je pouvais vous déshabiller.
Al – Oui, mais seulement du regard. Et si mon cadeau ne vous plait pas, je peux toujours l’enlever.
H – Ouaiiiiiiiiiiis.
Al (amusée) – Je voulais dire, rentrer chez moi et mettre une tenue plus conventionnelle.
H – Oh... Alors non, restez comme ça.

Quand Foreman et Chase arrivèrent avec leurs cadeaux, ils firent pâle figure. Hypnotisés à leur tour par Cameron, ils se contentèrent de tendre leur paquet à House sans le regarder. Celui-ci se plaça alors entre eux et Cameron, ce qui eut pour effet de les ramener sur Terre. Ils offrirent alors d’une manière plus « solennelle » leurs cadeaux à House qui fut, qui l’eut cru, vraiment touché par ces présents. Quand il se mit à porter son regard dans tous les sens, Allison précisa qu’aucune fête n’était prévue, au grand soulagement de House.

Comme aucun cas inexplicable n’était apparu, la journée se déroula normalement, bien que le nombre de nez cassés connu une augmentation fulgurante. Comme Cameron était toujours vêtue de manière divine, peu de monde regardait où il marchait d’où des rencontres imprévues avec des murs, des portes, etc… Cuddy appréciait peu qu’une femme autre qu’elle attire le regard des hommes et surtout celui de House. Elle essaya divers systèmes pour l’éloigner : consultations, paperasse, labo…Elle l’envoyait là où le moins de monde possible verrait la réincarnation de Vénus. Sa rivale temporairement éloignée, Cuddy tenta de pousser encore plus loin son avantage mais craignant de dévoiler sa jalousie, elle se ravisa. Elle aurait tout loisir de mettre son plan à exécution pendant le dîner. La journée s’acheva tranquillement et chacun rentra chez soi. House failli écraser deux piétons et percuter trois voitures, tant le souvenir de la chute de rein d’Allison était vivace dans son esprit. Il rentra chez lui mais au moment de fermer sa porte, un pied vint l’en empêcher, bloquant la fermeture. Saisissant sa canne, il se prépara à frapper l’inconnu mais poussa un soupir de soulagement en voyant que c’était Cameron qui lui rendait visite.

Al – Désolée, je ne voulais pas vous faire peur.
H – Vous me rassurez. Que voulez-vous alors ??
Al – Ça !!

Elle se colla à lui et l’embrassa avec fougue et passion. Surpris, il resta quelques secondes sans réagir. Afin de le « réanimer », elle l’embrassa de nouveau, en mettant d’avantage de tendresse dans ce second baiser. D’un simple coup de pied, House ferma sa porte tout en entraînant Allison dans sa chambre. Leurs vêtements rejoignirent peu à peu le sol. Quand House du enlever son tee-shirt, leurs lèvres ne se séparèrent qu’au strict minimum pour pouvoir reprendre au plus tôt leur ballet amoureux. Les lèvres de House se baladaient sur la totalité du corps de l’ange qui lui faisait face. Bientôt, leurs corps ne firent qu’un. Tantôt féline et sensuelle, tantôt ardente et sauvage, leur union était dominée par la tendresse bien qu’un peu de bestialité pure faisait de temps en temps son apparition à la demande de Cameron. Leur corps à corps, intense, ne s’acheva qu’au bout de la nuit, quand un bip strident leur indiqua de mettre fin à leur plaisir. Le réveil de House (que celui-ci avait oublié d’éteindre) venait de sonner, signalant ainsi qu’il était l’heure d’aller au boulot. Pour toute réponse, le réveil se prit un coup de poing de la part d’Allison.

H – Paix à ton âme petit réveil.
Al (l’embrassant sur le torse) – Hummmmmmmmmmm, veux pas y aller. On ne peut pas rester au chaud sous la couette, à finir ce que nous avons commencé ??
H – Si on est absent tous les deux, ça va faire jaser. Allez petit ange, un petit effort, faut y aller. Si tu veux, il y a des crêpes au petit déjeuner.
Al – Tu as fais des crêpes ? Toi ?
H – En fait, hier matin, Wilson a prit son petit déjeuner ici et il reste encore quelques crêpes rescapées.
Al (souriante) – Je me disais aussi…
H – Alors ??
Al – D’accord mais seulement avec du Nutella, sinon tu devras trouver autre chose.
H – Oui chef.

Une fois leur petit déjeuner avalé, ils se mirent en route pour l’hôpital. Séparément. Afin de ne pas éveiller les soupçons. Allison avait un sourire béat sur les lèvres tandis que House était en pleine réflexion. Il lui avait fait l’amour. Pourquoi ? Par pulsion ? Il faut dire que si une telle beauté vous saute dans les bras, n’importe quel homme normalement constitué accepte sans réfléchir. Par amour ? Il a toujours ressentit quelque chose pour elle. D’abord une simple attirance physique puis d’autres sentiments sont apparus sans qu’il ne sache si c’était vraiment de l’amour ou pas. Une seule chose était claire dans son esprit : il ne regrettait pas cette nuit là. Probablement la meilleure qu’il ai passé depuis des années.

En entrant dans la salle de réunion, Cameron rencontra Chase et Foreman qui restaient ici dans l’espoir d’avoir un cas intéressant et ainsi échapper aux consultations.

Ch – Oulà. Petit yeux, sourire niais, vêtements identiques à ceux que tu avais hier… Qu’est-ce que t’as fais cette nuit ?
Al – Si tu savais…
Ch – Allez dis moi.
Al – Je n’ai pas droit à une vie privée ?
Ch – T’es pas drôle.

House entra dans la salle et, n’ayant rien de croustillant à identifier, il leur annonça qu’ils étaient bon pour faire des heures de consult’, excepté si l’on avait besoin de leurs services dans leurs spécialités respectives. Les compétences de Foreman et Cameron étant sollicitées pour divers cas, Chase se retrouva propulsé en consult’ tandis que House…bin lui, il flânerait, irait embêter son ami Wilson…Il opta pour la seconde solution, ayant besoin d’un avis extérieur sur sa relation avec Cameron. Cependant, les conseils de Wilson, quel qu’ils soient, ne changeraient rien. Il était amoureux d’Allison. Son cœur ne souffrait plus d’aucun doute à ce sujet. La seule question qui le hante était de savoir si cette liaison avait un avenir. Ou pas.
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MessageSujet: Re: Dr House : Bons Baisers de House   Dr House : Bons Baisers de House Icon_minitimeMer 11 Juil - 12:59

Chapitre 3

House entra dans le bureau de son ami sans frapper car sinon, c’est moins drôle.

Wilson – House, tu permets, je suis avec une patiente.
H – Bonjour madame, vous avez un cancer du poumon, vous allez mourir dans trois mois, au revoir. Les mouchoirs sont à gauche en sortant.

La patiente, choquée, lança des regards paniqués à Wilson qui tenta de la rassurer.

W – Ne vous inquiétez pas, c’est sa manière de dire qu’il veut me parler en privé et que ça ne peut pas attendre. (Une fois la patiente sortie) Alors, qui as-tu tué en tentant un traitement qui n’était pas le bon ?? Non, ne dis rien. Sourire niais, cernes hors normes. T’as tué personne mais qu’est-ce que tu as fais comme bêtise encore ??
H – J’ai…couché avec Cameron.
W – Avec Allison Cameron ??
H – Bin oui, t’en connais beaucoup de Cameron toi ??
W – Ok, mais c’était à cause de quoi ? Alcool ?? Abus de vicodine ??
H – Non, j’en avais envie. Je crois bien avoir des sentiments pour elle. Des sentiments que je ne devrais pas avoir. Elle est jeune et je suis son patron…
W – Arrête pitié, on dirait Elisabeth Weir
H – Qui ça ??
W – Moi qui croyais que tu connaissais toutes les belles brunes des séries télés. C’est un mythe qui s’effondre. Peu importe, continue.

House tenta de résumer ce qu’il ressentait. Il commença par dire qu’elle était trop gentille et que tant de gentillesse le rendait malade. Car Cameron est comme ça : toujours attentionnée avec une parole rassurante, un regard réconfortant, une tasse de café par pure générosité… Cette femme est la troublante association d’un peu de naïveté, d’un semblant de pureté, et d’un soupçon de douceur auxquelles se mêlent jeunesse, compassion et fougue. C’est un ange mais un ange aux ailes noires. Car on ne dirait pas à première vue mais elle sait faire preuve de beaucoup de force et de colère. Entendant son ami parler de cette manière de l’immunologiste, il ne lui fallut pas longtemps pour aboutir à un diagnostic.

W – Une chose est sure, t’es bien amoureux. La preuve, tu fais des phrases avec des verbes.
H – Ha ha, très drôle.
W – C’est ça qui t’effraies à ce point, les sentiments qu’elle te fait éprouver. Cette fille a réussi là où toutes les autres ont échoué. Elle réveille le côté humain en toi que tu as mis tant d’années à enfouir sous des tonnes de sarcasmes, de colère et de misanthropie. Elle te fait redevenir le House gentil que tu étais, avant…Et c’est ça qui te fais peur dans cette relation. Qu’une jeunette détruise d’un simple regard tous les efforts de l’expérimenté House pour se protéger.
H – Merci Sigmund Freud. Mais j’ai besoin de conseils, pas d’une séance de psy.
W – Que veux-tu ?? A force de fréquenter une personne aussi gentille, elle a déteint sur toi. Faudra t’y faire. Et puis, je suis sur que ce côté « Ange Noir » te plais terriblement.
H – J’avoue que oui.
W – Désolé mais tu vas devoir assumer tes sentiments mon ptit père.

House rigola et quitta son ami, non sans lui avoir piqué un muffin que l’oncologue avait mal dissimulé. Il retourna dans son bureau afin de réfléchir à tout ça en lançant une balle contre le mur. Mais sa réflexion fut interrompue par une belle brune ténébreuse dont le simple sourire aurait suffit à déclencher un incendie.

Cu – House, je vous dérange ??
H – Comme toujours, mais je crois que je commence à m’habituer.
Cu – Pour le dîner de ce soir, chez moi 20 heures ??
H – Ça me va.
Cu – Parfait, alors à ce soir.

Maison de Cuddy, 19h58

House commença à tambouriner à la porte avec sa canne. D’abord doucement puis à un rythme de plus en plus soutenu. Après quelques secondes, la porte s’ouvrit et House eut une agréable surprise. Cuddy lui faisait face dans un superbe tailleur rouge. Même un Uruk-Hai enragé serait tombé sous le charme : le décolleté subtil, le maquillage discret mais savamment dosé…House ne s’attendait pas à ce que Cuddy soit si élégante.

H – Bonjour, c’est ici la maison close ??
Cu – Ça dépend… Vous avez le mot de passe ??
H – Vous êtes très en beauté, comme toujours.
Cu ( les joues légèrement rosies) – Merci. Allez-y, entrez.

House pénétra dans la maison et vit une table dressée avec soin. Après s’être débarrassé de son manteau, il tira une chaise pour permettre à Cuddy de s’asseoir puis s’assit à son tour. Ils commencèrent la soirée avec un verre de rhum qui aurait reçu les félicitations les plus enthousiastes du Capitaine Jack Sparrow si celui-ci l’avait goûté. Le dîner se passa dans une ambiance détendue où les médecins faisaient place aux individus en eux-mêmes. Parfois, le naturel reprenait le dessus et ils parlaient boulot mais l’un était toujours là pour rappeler l’autre à l’ordre. Après le repas, Cuddy partit dans sa cuisine, laissant House admirer son déhanché diabolique, et revint avec une tarte aux pommes maison.

H – Rassurez-moi, après ça, je ne serais pas obligé d’être gentil avec vous ??
Cu – Humm…Avec le cadeau que je vais vous offrir, vous ne serez pas gentil avec moi. Vous allez carrément me léchez les bottes.
H (l’œil lubrique) –Seulement les bottes ??
Cu (le coupant pour ne pas dévier dans son jeu où elle perdait toujours) – C’est un cadeau modeste : vous êtes épargné de consultations pendant un mois complet. Les heures que vous auriez du effectuer pendant ce mois-ci seront pfffff effacées…
H – Wahou!! Ca c’est du cadeau ou je ne m’y connais pas. En plus, j’ai l’autorisation de continuer à vous faire des misères. Il n’y a pas à dire : vous savez recevoir !!

Le reste de la soirée se déroula dans la même ambiance joyeuse. Tout d’un coup, House fut prit d’un doute.

H – Dîtes-moi Cuddy, ce que je sens remonter le long de ma jambe, c’est mon imagination ou vous me faîtes du pied ??
Cu (mettant délicatement son menton sur sa main droite) – Rassurez-vous, votre imagination n’est pas en cause.
H – Simple curiosité : c’est le cadeau numéro 2 ou pas ??
Cu (devenant sérieuse) – Je suis à un tournant de ma vie. Il est plus que temps pour moi de devenir une vraie femme, de devenir mère. J’aimerais avoir un enfant et j’aimerais que vous en soyez le père.
H (avalant de travers) – Hein ??? C’est quoi, un nouvel épisode de surprise sur prise ??
Cu – House, je suis sérieuse.
H – Et moi, je suis flatté. Vraiment. Mais vous arrivez un peu tard.
Cu – Comment ça ?
H – J’ai…déjà quelqu’un.
Cu – Vous avez trouvé quelqu’un qui vous supporte ? Waouh, ça veut donc dire que Dieu existe. Quand le Pape saura ça…
H – Persiflez tant que vous voulez mais…
Cu – Ce n’est pas vous que je veux mais votre semence. Et puis, vous êtes le seul à qui je puisse demander une telle chose.
H – Désolé mais je ne peux pas. Et puis, vous êtes une très belle femme. Vous n’allez pas me dire qu’aucun homme ne veut de vous ?? Je suis sur que si vous allez au bar du coin dans cette tenue et que vous les regardez de la même manière dont vous me regardez en ce moment, ils se jetteront à vos pieds. Vous devrez même les assommer pour éviter qu’ils ne s’entretuent pour vous.
Cu (déçue et presque en colère) – Ok j’ai compris. Mais vous me voyez vraiment dire à un homme « bonjour, on ne se connait pas mais j’ai très envie d’avoir un enfant de vous ?? »
H – Pas vraiment non. Mais ça pourrait être marrant. Prévenez moi quand vous le ferez, je ne veux pas louper la tête que fera le type à qui vous vous adresserez.
Cu – Puisque vous ne voulez pas m’aidez à l’avoir de manière naturelle, aidez –moi à faire les injections de mésotropine pour préparer la fécondation in vitro.
H – Vous avez tout prévu on dirait. Deux questions : pourquoi moi et pourquoi ne faîtes vous pas les injections vous-même ?
Cu – Car j’ai confiance en vous et que je tiens à ce que ça reste secret. Je ne veux pas que tout le monde sache que je n’ai pas trouvé d’homme pour me faire des enfants.
H – Vous voulez que ça reste secret ?? Avec moi, dans deux jours, même les vallées reculées du Timor Oriental seront au courant.
Cu (l’ignorant) – Et car ces injections doivent se faire dans les fesses…
H (soudainement intéressé) – Là ça devient intéressant. Il fallait commencer par là voyons.
Cu – Ça veut dire oui ??
H – Ça veut dire que j’ai besoin d’y réfléchir.

Le lendemain, House avait besoin de se confier mais il ne se voyait pas raconter une telle chose à Cameron. Il alla donc voir son ami Wilson qui, apprenant la nouvelle, fut prit d’un fou-rire monstrueux.

H – Je peux savoir pourquoi tu rigoles ? Ce n’est pas drôle.
W (au bord des larmes) – Oh que si. Tu couches avec Cameron et le lendemain, ta patronne te demande de lui faire un enfant. Désolé mais je trouve ça très amusant.

L’oncologue parvint tant bien que mal à retrouver un semblant de sérieux mais garda un sourire jusqu’aux oreilles.

W – Alors, que vas-tu faire ?
H – Je crois que je vais accepter. Je lui dois bien ça.
W – Tu peux préciser ? (Voyant l’absence de réaction de House) Oh non. Tu veux dire que toi et Cuddy…
H – Oui.
W – Et c’était…
H – Oui.
W (à nouveau contaminé par le fou-rire) – Mon vieux, t’es dans la merde.
H – Mais qu’est-ce que tu es encore allé chercher abruti ?? C’était il y a plusieurs années. Et je n’accepte que de lui faire les injections.
W – Va donc leur dire. A ton avis, que ce passera-t-il quand Allison apprendra pour Cuddy, que ce soit pour maintenant ou pour le passé et que cette dernière saura pour ta relation avec Allison ??
H – Fais moi penser à rédiger mon testament.

En sortant du bureau de son ami, les souvenirs de sa liaison avec Cuddy lui revinrent à l’esprit. Il avait tout de suite aimé son côté Latina. Il l’aime toujours. Cuddy était et reste encore la glace et le feu réunis. C’était une des femmes les plus sexys qu’il connaissait. Etre sexy n’est pas s’habillé en mini-jupe et décolleté plongeant : c’est une attitude. Mettez un porte-jarretelles à Diam’s et à Cuddy, vous verrez qu’une seule sera sexy alors qu’elles sont toutes deux vêtues de la même manière (c’est la femme qui rend le vêtement sexy et non l’inverse). Cuddy avait plus de charme que la moitié des femmes de cet hôpital réunies. Seule Cameron pouvait rivaliser. Sous les airs sévères que dégageait la dirigeante de l’hôpital, se cache un côté torride auquel il n’avait pu résister : une poitrine avantageuse savamment mise en valeur, une chevelure ténébreuse, un sourire à faire cesser une guerre… A cela s’ajoute leurs joutes verbales passionnées et passionnantes, le fait que ce soit une des rares personnes à lui résister et leurs petits jeux qui pimentent sa journée comme hurler dans l’accueil de l’hôpital « Non Cuddy, je ne coucherais pas avec vous ». Dieu qu’il avait aimé cette femme. Mais elle faisait partie de son passé.

Son présent, voire son avenir, se faisait avec Cameron. Mais il voulait lui rendre ce service, il y tenait réellement.

Quand il entra dans son bureau, il trouva Allison assise sur sa chaise. Leurs regards s’illuminèrent mais ils restèrent distants du fait de l’endroit où ils se trouvaient.

Al – House, depuis…l’autre nuit…on s’est presque évités. Je suis perdue. Etait-ce une simple nuit ou est-ce que c’était plus que ça ?

House soupira puis fit demi-tour, à la grande frustration d’Allison. Mais il ne fit ça que pour pouvoir fermer les stores donnant sur le couloir. Ainsi caché des regards indiscrets, il attrapa Allison par la taille, l’attira à lui et l’embrassa tendrement.

H - Ça répond à votre question ?
Al (devenue tout sourire) – Oh que oui.
H – Parfait. Euh, vous pouvez vous asseoir ??

Allison écouta House. Ils décidèrent qu’à l’hôpital, ils se comporteraient comme si de rien n’était car si Chase et Foreman l’apprenaient, l’unité de l’équipe serait compromise. Ceci décidé, House prit une grande inspiration et lui expliqua la situation avec Cuddy mais seulement l’épisode du dîner. Sa réaction fut quelque peu « différente » de celle de Wilson.

Al – Oh la garce…
H – On se calme.
Al – Je voudrais vous y voir. Elle drague l’homme que j’aime et lui demande de lui faire un enfant. Mais je vais l’inscrire à la morgue oui !!!
H – Tenez, prenez un peu de Vicodine. Non, je plaisante. Ce qui est sérieux, c’est qu’elle ignore pour nous et il vaudrait mieux qu’elle continue à l’ignorer. Or, si vous l’inscrivez à la morgue, elle se doutera de quelque chose, donc il vaut mieux éviter d’appliquer votre plan. (Allison approuva) Mais si je lui avais refusé ce service, elle aurait trouvé ça curieux et ne m’aurait pas lâché jusqu’à savoir pourquoi j’ai refusé.

House continua d’argumenter et Allison dut reconnaître qu’il avait agit comme il fallait. Elle s’excusa de s’être emporté si facilement mais n’en garda pas moins rancœur envers sa patronne. Quant à House, plus il la découvrait, plus il se sentait s’enfoncer dans ce sentiment déjà présent en lui mais qu’il avait dissimulé derrière ses sarcasmes. Elle avait un regard qui lui donnait envie de la prendre dans ses bras pour la réconforter, ce qu’il fit avec joie. Ils se séparèrent quelques secondes avant que Cuddy n’entre dans le bureau.

Cu – House, j’ai besoin de vous. Dr Cameron, ça va ?? Vous avez l’air énervée.
H – C’est rien, je viens de l’enguirlander car elle a classé les pochettes rouges dans la corbeille rouge et les pochettes jaunes dans la corbeille jaune.
Cu – Oui, le classement par couleur, je connais merci. Et alors ?
H – Alors, ce n’est pas ça. C’est les pochettes jaunes dans la corbeille rouge et les pochettes rouges dans la corbeille jaune.
Cu – Ce ne serait pas plus simple de la faire comme l’a fait Cameron ?
H – Pas pour moi.
Cu (stupéfaite par cette logique inversée) – Ok, je ne cherche même pas à comprendre. Salle numéro 1, maintenant.
Al – Euh, Dr Cuddy, si vous pouviez ne pas trop abîmer le Dr House, ce serait gentil. J’en ai encore besoin.

Cuddy fut encore plus à l’ouest et sortit du bureau, suivie par House qui passa une main dans le dos d’Allison. Il se retourna pour lui faire un clin d’œil, la remerciant ainsi d’avoir joué le jeu lors du coup des pochettes.

Allison ne savait pas vraiment ce qu’elle ressentait, de la peur ou de la joie. Elle ne savait pas si elle était vraiment prête pour ce type de relation. Mais elle était heureuse car elle s’était enfin libérée et qu’elle se sentait enfin…vivante. Elle était surtout rassurée par sa discussion avec House mais savoir qu’en ce moment, son homme avait une vue directe sur les fesses de Cuddy et qu’il allait les caresser, même par coton interposé, lui était une idée insupportable. Mais la joie prédominait en elle et, le sourire aux lèvres, elle retourna au labo terminer ses analyses.
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