ultimatum

auteur: samparker

- Jarod

On entendait les talons de Parker claquer sur le sol. Elle était encore à la poursuite de son génie. Le génie en question avait de l’avance sur ses poursuivants. Parker était 10 mètres en arrière, Broots 50 et Sydney, quant à lui, avait abandonné la course depuis longtemps.
Mais ce dont Jarod était sûr, c’était que sa belle était tenace. Il redoubla alors d’effort et tourna dans une ruelle. Parker s’y engagea à son tour et stoppa net : Il n’y avait plus personne.
Elle s’avança prudemment, les mains toujours serrées sur son Smith & Wesson. Il ne pouvait pas avoir disparu.
Jarod sortit alors de sa cachette, saisit Parker par la taille, la plaqua contre le mur et récupéra son arme. Elle le regarda dans les yeux, dans lesquels on pouvait voir un soupçon de plaisir :

- Tu es fier ?
- Bien sur !

Il s’approcha de Parker et l’embrassa (trop génial, un jarod qui embrasse une Parker qui ne s’énerve pas et en plus elle y prend du plaisir).
Cette dernière, surprise par la rapidité du caméléon et par la situation, se laissa guider par Jarod qui redoublait de passion dans son geste.
Lorsqu’il se détacha d’elle, il lui fallut quelques secondes pour reprendre ses esprits.
Jarod commença :

- C’est ta dernière chance………

Parker le regarda incrédule :

- Je te laisse 24 heures pour décider ce que tu vas faire de ta vie. Il est 22 heures, demain à cette heure je viendrai te voir. Selon ton choix je partirai seul ou avec toi.
- Partir où ?
- Quitter tout cela. Si tu refuses, tu ne me verras plus. Mais n’oublie pas, c’est ta dernière chance. A demain Parker.

Jarod la regarda en quittant les lieux. Elle ne fit rien pour l’empêcher, plongée dans une réflexion d’où elle fut tirée par Broots.
Ils rejoignirent Sydney puis la voiture et rentrèrent à Blue Cove encore une fois bredouilles.
Une fois chez elle, Parker prit une douche puis se coucha. Mais elle n'arriva pas à trouver le sommeil. Elle se repassait les derniers événements dans sa tête. Jarod avait été clair. Il partait et lui donnait la possibilité de partir avec lui. Au fond d'elle, elle le savait bien. Elle voulait partir avec lui. Mais elle savait que si elle le faisait, ils ne seraient jamais tranquilles, toujours traqués par le Centre.
Parker ne réussit pas à fermer l'œil de la nuit et se leva même plus tôt pour aller travailler.

Une fois arrivée dans son bureau, elle ferma la porte pour s'isoler. Mais cela ne dura pas longtemps car Broots, suivi de Sydney entrèrent :

- Bonjour Mademoiselle Parker !
- Mademoiselle Parker, vous avez l'air fatiguée.
- Je n'ai pas dormi cette nuit. Merci de vous occuper de ma santé.
- Qu'est-ce qui vous travaille ?
- Ce ne sont pas vos affaires………… Vous avez des nouvelles de Jarod ?
- Non.
- Alors pourquoi venez-vous me déranger ?
- Venez Broots. Vous savez où nous trouver si vous avez besoin.
- Merci Sydney.

Broots et Sydney sortirent du bureau de leur collègue.
Elle ne voulait pas être aussi dure. Mais elle avait besoin d'être seule. Il fallait qu'elle réfléchisse à l'ultimatum que son génie (ouh la la,elle reconnaît enfin que Jarod est son génie à elle) venait de lui poser. Il fallait qu'elle prenne la bonne décision.
La journée passa très vite et Parker redoutait de rentrer chez elle. Dans deux heures, Jarod allait arriver et elle n'arrivait pas à trouver de réponse à sa question. Elle sortit de son bureau et se dirigea alors vers celui de Sydney :

- Parker, vous rentrez chez vous ?
- Oui.
- On ne vous a pas beaucoup vu aujourd'hui.
- J'avais besoin d'être seule.
- Si vous avez besoin de parler.
- Je n'ai pas besoin de consulter, merci Syd.
- Bonne nuit Mademoiselle Parker.
- A demain Syd.

Parker sortit aussi vite qu'elle était entrée du bureau de son collègue et prit la direction de sa maison. Comme il lui restait encore une heure devant elle, elle prit un bain.

Comme prévu, à 22 heures, la sonnette retentit. Parker s'approcha de la porte mais resta derrière celle-ci :

- Parker, ouvre, je sais que tu es là.

Parker craqua et se laissa glisser contre la porte :

- Parker est-ce que c'est la réponse à ma question ?
- ………..

Parker releva la tête, son visage était inondé de larmes :

- Parker, tu ne veux pas réfléchir un peu………

Jarod lui laissa un temps de réflexion mais comme il voyait que rien ne bougeait à l'intérieur il reprit mais voyant que rien ne bougeait à l’intérieur, il reprit :

- Très bien, j'ai compris. C'est dommage, on aurait enfin pu être libres.

Parker ferma les yeux et écouta Jarod s'éloigner.
Au bout de 10 minutes, elle se releva, se dirigea vers sa chambre, puis s'allongea sur son lit et se laissa enfin aller à pleurer. Toutes ces larmes qu'elle retenait depuis si longtemps au fond d'elle sortaient toutes seules, sans qu'elle ne puisse les empêcher.
Au bout de plusieurs heures, elle finit par s'assoupir.



Le lendemain, elle fut réveillée par son téléphone. Elle mit un peu de temps à réagir et attrapa le combiné qui se trouvait sur sa table de nuit :

- Quoi ! Fit-elle avec lassitude.
- Parker, c'est Lyle.
- Qu'est-ce que tu veux ?
- Je voudrais savoir ce que Jarod faisait chez toi hier soir.
- Comment as-tu su qu'il était là ?
- Et ben, je le sais c'est tout. Et je sais aussi que tu savais qu'il était là, à moins que notre génie n’ait commencé à parler tout seul.
- Qu'est ce que ça peut te faire ?
- Pourquoi ne l'as-tu pas attrapé ?
- Je renouvelle ma question.
- Mais il me semble que c'est ton boulot de le ramener au Centre.
- …
- Il faut que je prévienne notre père.
- Fait ce que tu veux, je m'en fous.

Le ton de Parker était las et sans animosité envers son frère, ce qui était inhabituel chez elle tu m’étonnes, le jour où l’on verra Parker agréable avec son frère, les poules auront des dents et les pigeons des bretelles !)

- Parker est-ce que tu vas bien ?
- Oui.
- Ce n'est pas l'impression que tu donnes.
- Merci de t'inquiéter pour moi.
- Mais je suis ton frère c'est normal.
- ….
- Parker tu viens travailler ce matin ?
- Comme tous les jours.
- Très bien.

Sans saluer son frère, Parker raccrocha et reposa son téléphone à sa place
Il fallait qu'elle remonte la pente et fasse comme tous les autres jours. Il ne fallait pas qu'elle laisse paraître ce qui venait de se passer.
Elle passa rapidement sous la douche et prit la direction du Centre.
Elle gara sa voiture sur sa place de parking et remonta vers son bureau.
Alors que les portes de l'ascenseur se refermaient sur elle, elle fut prise de panique. Toute sa vie se mit à défiler devant ses yeux. Hier, quand elle n'avait pas répondu à Jarod, elle avait fait la plus grosse erreur de sa vie ( Ca c’est sûr, elle vient de faire une très grosse boulette !). Il fallait qu'elle fasse quelque chose. Il fallait qu'elle arrive à contacter Jarod.
Elle sortit de l'ascenseur et fonça vers le bureau de Sydney.
Elle y poussa les portes battantes :

- Syd, je sais que, si vous le voulez vous pouvez contacter Jarod.
- Bonjour.
- J'ai besoin de son numéro.
- Je ne l'ai plus.
- Ne vous foutez pas de moi.
- Je vous assure. Il a changé son téléphone et il a trouvé bon de ne pas me le redonner.
- Syd.
- Je vous dis la vérité Parker. Pourquoi voulez vous le contacter ?
- C'est personnel. Merci quand même Syd.
- Parker ça va ?
- Oui. Je ne reste pas aujourd'hui. Je rentre chez moi.
- Vous devriez prévenir Raines avant de faire une telle chose.
- Je vais aller voir Lyle. A choisir entre les deux je préfère mon cannibale de frère.
- Reposez-vous, Mademoiselle Parker.
- De toute façon, je vais avoir tout le temps pour cela.
- Sauriez-vous quelque chose que j'ignore ?

Mais Parker ne répondit pas. Déjà hors du bureau de son collègue, elle se dirigea vers celui de son frère :

- Parker, dit-il alors qu'elle entrait.
- Bonjour.
- Je suis content de te voir.
- Ah oui, vraiment ?
- Oui.
- Et bien, tu vas être déçu.
- Pourquoi ?
- Parce que je rentre chez moi.
- Tu sais que si tu veux me parler je suis là.
- Bien sûr, pour qu’ensuite tu puisses aller cafarder à l’autre déchet qui nous sert de père. Tu penses vraiment pouvoir me faire gober ça ?
- Je vois que tu ne le porte toujours pas dans ton cœur.
- Je te signale que c'est lui qui a tué notre mère.
- Je sais oui. Mais c'est aussi lui notre patron.
- Et bien moi je n'ai pas peur de lui. Je rentre, tu diras ce que tu veux à ton père.

Parker tourna les talons et quitta le Centre. Elle arriva chez elle et encore une fois se retrouva seule. Mais elle n'avait jamais été aussi seule qu'aujourd'hui. Elle s'assit sur son lit et réfléchit.
Elle se rappela tout ce qui s'était passé dans sa vie. Et elle savait aussi que, plus jamais elle ne vivrait comme avant.
Plus jamais elle ne se lancerait à la poursuite de son génie pour feindre ses sentiments. En effet, ça faisait quelques semaines que Parker ne se cachait plus les sentiments qu'elle éprouvait pour Jarod : Elle l'aimait plus que tout et ce depuis toujours.
Parker venait de réaliser qu'elle venait de foutre sa vie en l'air (comme quoi, par moment, c’est vraiment une andouille. Moi, pour un beau mec comme ça, je ne réfléchis pas, je pars sur le champ. En plus, je suis sûre qu’il aurait été ravi de lui prêter sa brosse à dent).
Elle se leva et se dirigea vers son bar. Elle y attrapa la bouteille de whisky et ne prit même pas la peine de prendre un verre. Elle commença à vider la bouteille.

Au bout de deux heures, elle ne tenait même plus debout. Elle se leva, avança tant bien que mal et se rendit dans sa chambre où elle se laissa tomber sur son lit.
Lorsqu'elle se réveilla, elle avait l'impression que sa tête allait explosé. Le soleil se reflétait dans ses yeux. Elle se redressa péniblement et regarda l'heure : 11 heures. Elle était en retard. Mais le pire, c'était qu'elle ne voulait pas y aller (tu m’étonnes. Moi, à sa place, je me serai tirée depuis longtemps). Elle téléphona à Sydney pour lui dire qu'elle ne viendrait pas, prétextant une indigestion, et passa le reste de la journée à dormir, estimant ne plus rien avoir de mieux à faire dans sa vie.

***********

Parker n'était pas sortie de chez elle deux jours durant. Sydney et Broots avaient voulu venir la voir mais elle avait refusé.
Elle était désormais allongée sur son lit, les yeux vides et gonflés d'avoir trop pleurer.
Son esprit était toujours focalisé sur Garrod (Ah là là, quel beau gars !!) . Elle s'en voulait de ne pas avoir ouvert la porte, d'avoir prit sa valise et quitter Blue Cove. Mais encore une fois, elle s'était refusée à penser à elle-même et elle avait tout perdu. Ce qui était sûr à présent pour elle, c'était qu'elle ne pouvait pas vivre sans revoir Jarod. Elle était véritablement au bord de la crise de nerf. Elle ne voyait pas comment ça pouvait être pire. Il fallait qu'elle bouge. Elle ne pouvait plus rester comme ça. Elle prit le temps de prendre une douche et alla marcher un peu.
Sans trop savoir comment, elle se retrouva au bord de la mer. Elle resta un moment à contempler les vagues. Leur bruit l'apaisait un peu. Au bout d'une vingtaine de minutes, elle fit volte face et aperçu la falaise : C'était peut être la seule solution pour mettre fin à toute cette souffrance. Elle prit la décision d’y monter et une fois sur place, elle s'approcha du bord et regarda dans le vide. Le vent faisait voler ses cheveux. Elle n'avait plus qu'une idée : Sauter.
Tout était si facile, elle n'avait qu'un pas à faire et toute la tristesse s'envolerai alors que son corps finirait ses jours dans le bleu de l'océan.
A chaque fois qu'elle fermait les yeux, le visage de Jarod lui apparaissait. Mais le problème c'était que Jarod avait prit la décision de quitter le Centre en disparaissant et il l'avait par conséquent quittée aussi.
Il devait maintenant arpenter le pays pour retrouver sa famille et penser à en créer une nouvelle.
Et elle, elle restait seule et devait, et ce jusqu'à probablement la fin de sa vie, se rendre dans la maison des horreurs.
Elle ne pouvait pas imaginer vivre ainsi une minute de plus.
Elle ouvrit une dernière fois les yeux pour observer le ciel qui était sans nuage, prit une grande inspiration et ………………………… :

- Parker, je t'en supplie, ne fait pas cela.

Surprise, elle se retourna. Jarod ne se trouvait qu’à quelques mètres d'elle :

- Jarod.
- Ne fait pas ça.
- Je………. Je croyais que.

Mais Jarod était trop préoccupé par le fait que Parker ne se trouvait qu’à quelques centimètres d'un vide impressionnant :

- Parker, si tu veux me faire plaisir……… Reviens vers moi.

Elle se détourna de son interlocuteur :

- Je vois qu’une fois encore, tu n’as pas tenu ta promesse.
- Pourquoi dis tu cela ?
- C’est comme lorsque nous étions enfants et que tu m’avais dit que jamais tu ne me laisserais tomber. Regarde où nous en sommes.)
- Je ne vois pas ce que tout ça vient faire dans ici.
- L'autre jour tu m'as dis que tu partais et pourtant tu es là.
- Si je suis là, c'est parce que Sydney m'a dit que tu n'allais pas bien du tout.
- Lui aussi il m'a menti. Mais bien sûr, tout ça est logique.
- Parker, s'il te plait.
- Laisse-moi tranquille.
- Parker, je suis aussi revenu pour toi.
Cette dernière phrase força Parker à se retourner :

- Tu dis ça pour que je revienne vers toi.
- Reviens, s'il te plait.

Parker se tourna à nouveau vers la mer :

- ………
- Parker, tu veux que je me mette à genoux et que je te dise à quel point je t'aime.
- Arrête avec ça.
- Mais toi aussi,tu sais que tu m'aimes et que tu ne peux pas faire autrement.

Parker pleurait. Elle savait que Jarod disait la vérité :

- Parker, si pour une fois, tu écoutais ton cœur.

Parker commença à se retourner une fois de plus vers son génie mais elle perdit l'équilibre et se sentit tomber.
Jarod se précipita :

- Parker ?

Par on ne sait quel miracle Parker, n'était pas tombée. Elle se tenait ,malgré elle, à la paroi de la falaise :

- Jarod, je suis là.

Jarod s'allongea et aperçut Parker. Il lui tendit immédiatement la main :

- Attrape ma main Parker.
- C'est trop dur.

Parker n'avait plus de force :

- Jarod, je vais tomber.
- Tu ne vas pas tomber, fait un effort, attrape ma main.

Parker tendit à plusieurs reprise la main en direction de celle de Jarod, mais elle ne parvenait pas à la saisir :

- Jarod, je glisse.
- Tu es tout pour moi, alors je t’en supplie, fait un effort.

Parker écouta Jarod et donna tout ce qu'elle avait pour se redresser un maximum et attrapa enfin sa main :

- Je te tiens.
- Ne me lâche pas Jarod.
- Tient bon, je vais te remonter

Sans lâcher la main de sa belle, Jarod se redressa et parvint à remonter Parker(ouf, il était moins une). Cette dernière s'accrocha à son cou et ils retombèrent tous les deux au sol.
Parker se redressa, suivie de près par Jarod :

- Parker, tu vas bien ?
- Oui.

Parker ne quittait pas le sol des yeux. Elle sentit la main de Jarod se poser sur son menton pour lui faire redresser la tête :

- Je suis désolé Parker.
- Pour….. pourquoi dis tu cela ?
- Tu as failli mourir et c'est de ma faute.
- Mais j'avais le choix l'autre jour.
- Je n'aurai jamais du te poser cet ultimatum.
- Si Jarod, tu as bien fait.
- Pourquoi ?
- Tu m'as ouvert les yeux.
- Et ?
- Je ……..

Parker avait du mal à s'exprimer :

- Je veux partir avec toi.
- Tu es sérieuse ?
- Je n'ai jamais été aussi sérieuse qu'aujourd'hui .

Un grand sourire se dessina sur les lèvres de Jarod. Elle lui avait enfin ouvert son cœur et maintenant, ils allaient partir tous les deux pour commencer enfin à vivre comme tout le monde. Parker continua :

- Jarod ?
- Oui ?
- Tu sais que c'est très dur pour moi d'avouer ce genre de chose.
- Je sais et tu n'es pas obligée de le faire, je sais ce que tu essaye de me dire.
- Mais je veux y arriver, laisse-moi finir s'il te plait.
- Je t'en prie.
- Jarod………… Malgré le fait que je te pourchasse depuis plus de six ans maintenant, je …………… Je pense que si tu es resté dehors pendant tout ce temps, c'est qu'au fond de moi, je ne voulais pas que tu rentres au Centre.
- ……….
- Et surtout Jarod ………………… Je…………. Je t'aime Jarod (hourra, elle l’a dit. Bah, elle n’aura mis que 30 ans pour le dire. Mais comme on dit mieux vaut tard que jamais !).

Jarod ne pu se retenir plus longtemps. Il prit Parker dans ses bras et la serra très fort. Parker fit de même et il restèrent un long moment dans les bras l'un de l'autre.
Ce fut Parker qui rompit ce premier vrai contact entre eux. Mais ce manque de contact ne dura pas longtemps. Après s'être regardés dans les yeux, leurs visages se reprochèrent et leurs lèvres se touchèrent. Leur troisième baiser fut doux et très long. (3ième ??? Et où qu’il est le 2ième ?? (Samparker : Le deuxième c’est celui du début de la fic. Le premier quoi tu t’en souviens pas ? allez on l’aide une petite phrase pour aider « JE N’AI JAMAIS OOUBLIE LE PREMIER BAISER QU’UNE PETITE FILLE M’A DONNE)) Lorsqu'ils furent à bout de souffle, ils se séparèrent. Il rentrèrent ensuite chez Parker pour qu'elle prépare ses affaires et, à la demande de cette dernière, ils prirent la route pour une direction encore inconnue, mais une seule chose comptait, ils étaient ensembles et plus rien ne pouvait les séparer(ils vécurent heureux et eurent tout plein de petits caméléons et caméléonnes !!).