serial univers
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 1 diner pas comme les aurtres

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venusia
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venusia


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MessageSujet: 1 diner pas comme les aurtres   1 diner pas comme les aurtres Icon_minitimeSam 17 Fév - 19:26

Un dîner pas tout à fait comme les autres

AUTEUR : Morgane.

EMAIL : bastien.morgane@club-internet.fR

BLOG de Fics : http://carys.myblog.fr/index.html

DATE : Novembre 2005

SAISON : Saison 1

CATEGORIE : romance Liz/John (shweir en plein)

RESUME : Un dîner qui ne va pas se passer tout à fait comme les autres…

ARCHIVES : Je serai très heureuse que ce fan fic soit diffusé sur d’autres sites, merci de m’en informer si vous l’utilisez.

DISCLAIMER : Je ne touche pas d’argent pour cette fic, que j’écris pour le plaisir

NOTE DE L’AUTEUR :

C’est la suite de proposition, qu’il vaut mieux avoir lu pour comprendre l’histoire, je me suis inspiré pour cette fic de l’épisode 3 de la saison 4 de stargate sg1, enfin j’ai juste repris le truc avec le bouclier !!!! Moi perso j’ai adoré cette scène où Sam et Jack se regardent avec un de cet regard !!!!!! bon c’est pas le propos lol

A ma petite sœur d’adoption, merci pour tous ces moments que l’on passe ensemble, merci pour ces coups de fils, merci pour ton aide dans mes fics enfin merci d’être là pour éclairer mon petit ciel.

A ma Twennie, je pourrais dire la même chose, avec cette année passée à tes cotés j’ai découvert une sœur, une amie, merci a toi aussi pour ton amitié et ton aide si précieuse, merci pour tous ces appels, merci d’être là ! Merci d’être toi !!! Je t’adore gros bisous cette fic est pour toi !!! mon ange.

A mon canard, je suis navrée que tu n’aimes pas atlantis, mais je sais que tu vas lire les dédicaces alors sache seulement que Daffy s’inquiète pour toi lol ça me manque de ne plus te voir si souvent sur msn !! Je t’adore ma puce et je suis à fond avec toi quoi qu’il arrive gros bisoussssssssssssssssssssssss


Ben voilà odrina la fameuse fic tant attendue sur doudouuuuuuuuu j’espère qu’elle va te plaire !!!! Tu sais que si ça va pas nous sommes toutes avec toi je te fais un gros bisou en espérant que cette petite fic te remontera le moral !!!


Un gros bisou à toutes les filles du Forum dreamer en particulier à Hanna merci d’être là.
Et un remerciement aussi à malice pour sa patience dans sa correction (t’as vu je l’ai enfin finie lol)



La voix de Mc Kay finit enfin par s’interrompre, plongeant de nouveau la salle de conférence dans un silence bienfaiteur. Apres avoir jeté un bref coup d’œil aux différents membres de l’expédition présents dans la salle, Elizabeth prit la parole.

- (Elizabeth) Vous êtes bien sûrs que toutes les vérifications ont été faites en ce qui concerne les coins habités de la cité, Rodney ?
- (Rodney) Parfaitement, je les ai effectué moi même, c’est pour dire. Je n’ai plus que deux ou trois réglages à voir ce soir et tout devrait être bon…Pour cette partie de la cité du moins. Elizabeth, je voudrais vous demander l’autorisation de constituer une équipe pour vérifier si les parties non explorées n’ont pas été touchées.
- (Elizabeth) C’est ce que j’allais vous proposer Rodney. Je veux que vous constituiez une équipe de scientifique escortée par le Lieutenant Ford, pour la vérification de la cité.
- (Rodney) Cela ne devrait prendre que quelques jours pour constituer l’équipe.
- (Elizabeth) Très bien (se levant) Messieurs. Dit-elle avant de sortir de la salle.

John fila à sa suite et l’interpella dans le couloir.

- (John) Docteur Weir ?
- (Elizabeth, se retournant et souriant) Major ? Un problème ?
- (John, souriant) Non pas le moindre. Je voulais seulement savoir si vous n’aviez pas oublié notre petit dîner de ce soir ?
- (Elizabeth) Pas le moins du monde Major. C’est toujours à 2OHOO ?
- (John) Cela n’a pas changé.
- (Elizabeth, avec un sourire charmeur) Alors à ce soir.

Il lui sourit avec un air de parfait idiot, et ne pu s’empêcher de laisser vagabonder son regard sur la partie la plus charnue de l’anatomie Elizabeth. John secoua la tête pour essayer de retirer ses pensées peu catholiques et se retourna. Il eut un léger mouvement de recul quand il vit la personne qui se tenait juste derrière lui.

- (John, soupirant) Mc Kay ! Bon sang, vous avez failli me faire avoir une crise cardiaque !

Celui-ci avait un petit sourire qui flottait sur les lèvres, en même temps qu’il regardait John et le bureau Elizabeth.

- (John, exaspéré) Quoi ?
- (Rodney) Oh rien. Dit-il en jetant un dernier coup d’œil au bureau de liz.
- (John, grimaçant) Je ne veux même pas savoir ce que votre esprit est en train d’imaginer. Dit-il en commençant s’éloigner vers ses quartiers.
- (Rodney) Mais je n’imaginais rien ! dit-il en le suivant. Je voulais juste vous demander un service pour ce soir…

Sheppard stoppa net et Mc Kay se cogna contre lui.

- (Rodney) Hey ! Vous pourriez me prévenir quand vous stoppez !
- (John) J’ai cru mal entendre, vous disiez ?
- (Rodney) Que j’avais besoin de vous ce soir.
- (John, grimaçant) C’est bien ce qui m’avait semblé. Je suis désolé de décevoir vos grands projets, mais vous avez mal choisi votre jour. Je ne peux pas ce soir.
- (Rodney) Vous ne pouvez pas ?
- (John) Non, j’ai à faire.
- (Rodney) Vous avez à faire ?
- (John, agacé) Bon sang, vous êtes sourd ou vous le faites exprès.
- (Rodney, faisant mine de réfléchir) Un peu des deux en fait. Vous ne pouvez vraiment pas ? Parce que j’aurai eu besoin de vous pour la dernière vérification…
- (John) J’ai dis non ! Demandez à Ford ! Dit-il en le plantant au milieu du couloir.
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venusia
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venusia


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MessageSujet: Re: 1 diner pas comme les aurtres   1 diner pas comme les aurtres Icon_minitimeSam 17 Fév - 19:26

1H00…Voilà 1H00 qu’Elizabeth était dans ses quartiers à essayer de se choisir une tenue pour le dîner qui avait lieu dans, elle jeta un coup d’œil à sa montre. Mon dieu ! Une demie heure seulement ! Elle attrapa les deux dernières tenues qui lui restaient dans son placard et les plaqua devant elle.

Le petit haut rouge avec le pantalon noir, ou alors la tenue de soirée…Bon sang, elle avait été complètement bête de s’acheter cette robe avant de partir ! Elle espérait quoi ? Qu’un dîner aurait été organisé à l’autre bout de la galaxie ? Ridicule !

Elizabeth poussa un profond soupir de lassitude…Il n’y avait pas que cela qui était ridicule…Son attitude l’était tout autant…Elle se comportait comme une gamine à son premier rendez vous…C’était pathétique…Tout bonnement pathétique…

Surtout quand on sait que ce n’était qu’un dîner entre amis…juste entre amis…Pourquoi dans ces conditions se sentait-elle aussi nerveuse ?
Plus l’heure approchait, plus son cœur jouait au marteau piqueur…Ses mains étaient moites…Il fallait qu’elle se calme…

C’était juste un dîner entre amis…juste entre amis…se répéta t-elle…Elle se regarda une dernière fois dans le miroir, pris la robe et partit dans la salle d’eau…


Du coté du Major Sheppard ce n’était pas mieux. Celui ci se baladait à présent depuis 10 minutes en boxer dans sa chambre, en cherchant, de droite à gauche où il avait pu mettre ce pantalon ! Il était sûr de l’avoir amené pourtant ! Ce qui d’ailleurs, sur le moment lui avait parut ridicule…Il se demandait encore pourquoi il l’avait pris !

Un costume sur une cité perdue à l’autre bout de la galaxie, là où rodaient mille et un dangers. Bon sang ! Il espérerait quoi ! Qu’un dîner mondain soit organisé entre deux parties de chasse aux Wraiths ? Ridicule !
Enfin, il l’avait apporté, autant que cela serve à quelque chose…ce dîner était peut-être une bonne occasion…

John jeta un dernier coup d’œil à sa chambre qui était dans un désordre pas possible, puis, il finit par repérer le dit objet caché entre deux piles de treillis et autres sous pulls. (Vous savez les sexy qu’il porte parfois dans certains zodes)

- (John) Ah te voilà toi ! Je t’avais bien dit que tu ne m’échapperais pas !

Sheppard leva les yeux au ciel, le voilà qui parlait à un pantalon…Mon dieu, mais qu’est ce qu’il lui prenait…Ce dîner allait le rendre dingue, ou alors, il mourait d’une crise cardiaque avant la fin…

Son cœur jouait au marteau piqueur depuis qu’Elizabeth avait accepté et encore plus depuis qu’elle lui avait fait ce sourire…Ah…Il aurait pu tuer une armée de Wraiths rien que pour ce sourire…Comment en était-il arrivé là ?

A avoir son cœur qui battait la chamade dès qu’elle posait les yeux sur lui, les mains moites…Une sorte de peur au fond de l’estomac…Ca ne lui était encore jamais arrivé de sa vie ! Même quand il sortait avec Kim machin chose…

Il n’y avait pas à dire, elle le rendait fou…Ce dîner était peut-être une bonne occasion de faire un pas vers elle…Heureusement qu’il avait tout préparé à l’avance, car autrement cela aurait été la panique la plus totale !
John respira deux ou trois fois afin de se calmer et commença à s’habiller.



Le maquillage bon, la robe bien, tout semblait parfait…Si tout était si parfait, elle n’aurait pas cette horrible impression que quelque chose clochait…c’est pas vrai, Elizabeth était décidément trop perfectionniste !

Un coup à la porte la sortit de ses réflexions. Elle jeta un œil à son réveil : 20HOO cela ne pouvait être que lui…Après une dernière vérification dans le miroir, la jeune femme, le cœur battant, alla ouvrir…C’est bien simple, si elle n’aurait pas su que c’était John, elle ne l’aurait tout bonnement pas reconnu !

Celui ci portait un pantalon de costume noir, assortie avec une veste de la même couleur, en dessous on apercevait un pull blanc cassé en col V. Il regardait Elizabeth avec des yeux ronds comme des Balles de ping-pong.
Apres l’avoir toisé pendant 5 bonnes minutes dans un silence qui en devenait même inquiétant, le jeune homme se décida enfin à parler.

- (John, souriant) Vous êtes sublime.

Elizabeth rougit devant le regard que John posait sur elle. Le Docteur Weir se ressaisit cependant.

- (Elizabeth, souriant) Vous n’êtes pas mal non plus.
- (John, gêné) Vous savez, je ne sais même pas pourquoi j’ai amené avec moi ce costume. Comme si une soirée mondaine allait être organisée sur Atlantis !

La jeune femme se mit à rire à l’écoute de cette phrase.

- (John, fronçant les sourcils) Quoi ? qu’est ce que j’ai dit de si drôle ?
- (Elizabeth, se calmant) Oh rien…C’est juste que je me suis dit exactement la même chose à propos de ma robe.
- (John, étonné) Ah bon ? (sérieux) Il aurait été pourtant dommage que vous ne l’apportiez pas.
- (Elizabeth) Alors monsieur, où dîne-t-on ce soir ?
- (John, avec un sourire charmeur) C’est une surprise.

Il sortit un foulard de soie de la poche intérieure de sa veste, Elizabeth le regarda intriguée.

- (Elizabeth) Que comptez-vous faire avec ce foulard ?
- (John) Tournez vous.

La jeune femme le regarda suspicieuse, mais finit par y consentir en voyant la mine suppliante de John. Quelle ne fut pas sa surprise, quand elle sentit le foulard de soie se poser sur ses yeux.

- (Elizabeth, rieuse) Major, qu’est ce que vous fabriquez ?
- (John, murmurant à son oreille) Chut…faites moi confiance…

Le corps entier d’Elizabeth frissonna quand elle sentit le souffle chaud de John contre son oreille. Le Docteur Weir dû faire un suprême effort pour retenir un soupir qui menaçait de percer. Elle sentit la main de John prendre la sienne, et se résolut à le suivre…


Cela faisait 10 bonnes minutes à présent que le couple marchait dans le dédale des couloirs d’Atlantis…Elizabeth commença à être assez exaspérée par le petit manège de John.

- (Elizabeth) John, vous comptez me faire faire le tour de la cité ? Non, parce que si c’est votre plan, je peux vous dire que la soirée entière ne suffira pas !
- (John, souriant) Ne vous inquiétez pas !

La jeune femme entendit clairement le sas d’une porte qui s’ouvre, et le foulard se retira de ses yeux.

- (John) Vous pouvez ouvrir les yeux.

Ce qu’ils découvrirent la laissa bouche bée, la pièce avait été entièrement redécorée…Un long rideau rouge couvrait les murs, des dizaines de bougies étaient posées de-ci de-là, donnant des allures feutrées à la pièce, dans laquelle une table ovale avait été dressée en son centre.

- (Elizabeth) John c’est magnifique !
- (John, souriant) Je vous avais bien promis un dîner non ? Alors j’ai essayé de respecter ma promesse.
- (Elizabeth) D’accord, mais là… (Fronçant les sourcils, le regardant) Où est ce que vous avez trouvé ce rideau ? et ces bougies ?
- (John) Pour les bougies et bien, j’en ai un peu emprunté aux Athosiens et dans nos réserves. Quand au rideau… (se grattant la tête, gêné) Ne le dites pas à Mc Kay. (Il se dirigea vers la table, et tira une chaise) Si madame veut bien prendre place.

La jeune femme se mit à rire devant le faux sérieux de John. Elizabeth accepta en souriant la main qu’il lui tendait, et pris place autour de la table. Le jeune homme se dirigea vers la seconde table, qui se trouvait dans un coin de la salle et pris deux plats qu’il emmena jusqu'à la jeune femme.

- (John, d’un air pompeux) Salade au fromage.
- (Elizabeth, souriant) Merci.

John posa son assiette et s’assit en face d’Elizabeth, puis la regarda…Elle était magnifique…Comment ne s’en était-il pas rendu compte avant ? Comment cela avait-il pu lui échapper ? Enfin la question n’était plus là…Sheppard avait bien fait d’organiser ce dîner, et il comptait bien en profiter…


Mc Kay arriva dans la salle de contrôle encore plus énervé qu’à l’accoutumée, sûrement dû au fait qu’on était venu l’interrompre dans ce qui était pour lui une de ces activités favorites : « Dîner »

- (Mc Kay) Je peux savoir pourquoi vous m’avez fait appeler ! J’étais en train de faire quelque chose d’important !
- (Ford) Vous appelez « dîner » une chose importante ?
- (Mc Kay, le fusillant du regard) Vous savez très bien que si je ne fais pas quatre repas par jour, je tombe en hypoglycémie ! Mais apparemment, tout le monde s’en fiche que je disparaisse !
- (Zelenka) Là n’est pas la question Rodney. Intervient Zelenka désireux de couper court à ce qu’il pressentait être un long discourt du scientifique. Nous avons repéré une défaillance dans le système.
- (Mc Kay, le regardant) Impossible ! Après la tempête, j’ai effectué moi même les opérations de contrôle des parties de la cité que nous occupions et je n’ai aperçu aucune défaillance !
- (Zelenka) Et bien regardez vous même !


Apres avoir jeté un regard d’incompréhension à Zelenka, Mc Kay porta son attention sur l’ordinateur et se mit à tapoter frénétiquement.

- (Mc Kay) Cela est très bizarre…Ce n’était pas là tout à heure, je peux vous l’assurer…Je me demande ce que… (sursautant) Mais qu’est ce qui se…

Des dizaines et des dizaines de chiffres plus incompréhensibles les uns que les autres, défilaient à une vitesse des plus phénoménales, devant un Mc Kay totalement ébahi. Une fraction de secondes plus tard, tout redevient à la normale, jusqu'à ce que des étincelles jaillissent du panneau de commande, les faisant reculer.

- (Ford) Mais bon sang, qu’est ce qu’il se passe !
Grondin se précipita immédiatement vers la console pour vérifier s’il n’y avait aucun dégât majeur.

- (Grondin) Apparemment, tout me semble normal.
- (Teyla) Moi, je n’en suis pas si sûre. Regardez dit Teyla en montrant l’écran plasma qui représentait les parties habitées de la cité.
- (Ford) Qu’est ce que c’est ?


Une sorte de barrière thermique venait d’apparaître, entourant un petit coin de la cité.


(Quelques minutes plutôt)

Une douce musique envahissait la pièce, la table qui y était dressée avait reculé afin de permettre une piste de danse improvisée. Le Docteur Weir et Le major Sheppard y dansaient tendrement enlacés. John entourant délicatement la taille Elizabeth d’une main, pendant que l’autre s’était logée un peu plus haut dans son dos.

La jeune femme quant à elle, avait posé sa tête contre le torse de John, ses deux mains à plat sur celui ci. Tous deux se laissaient aller sur la musique, dans le silence le plus total, depuis quelques minutes déjà…
C’est Elizabeth qui le brisa la première.

- (Elizabeth) Je ne savais pas que vous saviez danser major.
- (John) Voilà encore une des mes qualités que vous ignoriez, et qui a été palliée grâce à ce dîner.

Ce dîner avait été en effet très bénéfique pour eux. Bien qu’ils avaient déjà un grand respect l’un pour l’autre, cela n’avait fait que grandir au fur et à mesure de la discussion, qui leur avait permis de découvrir des facettes de leur personnalité qu’aucun d’eux ne soupçonnait.

Comme par exemple, le penchant pour John à la littérature romantique, ou celui d’Elizabeth pour le jardinage qu’elle trouvait détressant, ce que John n’avait put contredire.
La main d’Elizabeth vient délicatement caresser le torse de John, qui se raidit immédiatement. Un violent frisson lui parcouru l’échine…Mon dieu, il n’avait jamais été aussi troublé par un simple geste…Sheppard s’arrêta et le docteur Weir le regarda étonnée.

- (John, souriant) Et si nous passions au dessert ?
- (Elizabeth) Qui est ?
- (John) Un brownie chaud sur un lit de crème anglaise.
- (Elizabeth, écarquillant les yeux) C’est mon dessert préféré.
- (John, souriant) Je le sais.

La jeune femme se saisit du bras que lui tendait John, et commença à se dirigeait vers le fond le la pièce, quand celui ci stoppa.

- (Elizabeth, le regardant) Qu’il y a t-il ?
- (John, fronçant les sourcils) Je ne sais pas.
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venusia
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MessageSujet: Re: 1 diner pas comme les aurtres   1 diner pas comme les aurtres Icon_minitimeSam 17 Fév - 19:27

Tout d’un coup ses yeux s’écarquillèrent.

- (John) Elizabeth écartez vous ! dit-il en la poussant violemment.

La jeune femme atterrit assez durement sur le sol, un peu étourdie.
Après avoir rassemblé ses esprits, elle se leva d’un bond et foudroya John du regard. Bon sang, tout avait si bien commencé ! Pourquoi fallait-il qu’il gâche tout en faisant cela.

- (Elizabeth) Major Sheppard, je peux savoir pourquoi vous avez fait cela ?

Apres avoir parcouru du regard la pièce, il posa enfin ses yeux marron verts. La jeune femme commençait à avancer dans sa direction, l’air remonté à bloc.

- (Elizabeth) Je peux savoir ce qui se passe Sheppard ?
- (John, levant la main) N’approchez pas !
- (Elizabeth) Pourquoi donc ?

Il se saisit d’une assiette qui se trouvait à ses cotés et la lança en direction de la jeune femme. L’objet qui aurait dû normalement atterrir en plein dans le visage de la jeune femme, stoppa sa course en pleine route, arrêtée par une sorte de bouclier invisible, qui projeta des étincelles dès que l’assiette entra en contact avec elle.

- (Elizabeth) Qu’est ce que c’est ?
- (John) Je n’en sais rien, mais on va vite le savoir.

John commença à tourner frénétiquement en rond, dans un bout de la pièce, exaspéré au plus haut point qu’un truc lui ait gâché son dîner avec le docteur. La jeune femme finit par perdre patience et demanda au bout de quelques secondes.

- (Elizabeth) Bon sang, Sheppard ! Qu’est ce que vous faites ?
- (John) Je cherche mon émetteur ! Je sens que Mc Kay va passer un sale quart d’heure.


Pendant ce temps en salle de contrôle l’agitation commençait à gagner les rangs.

- (Zelenka) On dirait une sorte de barrage ou de bouclier…
- (Mac Kay, exaspéré) Le plus important pour le moment Zelenka et je crois, est d’essayer de trouver comment arranger cela avant qu’Elizabeth ne découvre tout.
- (Zelenka) Qu’est ce qu’on peut faire ?
- (Mac Kay) Je n’en sais rien ! (énervé) Faites comme moi, cherchez ! Qu’est ce qui se trouve dans le coin de la cité ?
- (Ford) Pas grand chose. La bibliothèque, la salle de sport, et quelques pièces.
- (Mac Kay) Ok, donc rien de vital et de dangereux pour autrui.
- (Teyla) Docteur Mac Kay ?
- (Mac Kay) Teyla ce n’est vraiment pas le moment.
- (Teyla) Vous devriez regarder l’écran.


Rodney se retourna exaspéré vers l’écran plasma. Deux points rouges, signalant des signes de vie, se trouvaient dans cette partie de la cité.

- (Mac Kay) Ce n’est pas vrai ! Mais qui sont les crétins qui sont partis se balader à cette heure dans le coin ! (A Ford) Lieutenant Ford, vous pouvez aller jeter un…


Mais avant qu’il n’ait pu terminer sa phrase, sa radio se mit à grésiller…



- (Elizabeth) Vous amenez toujours l’émetteur radio avec vous ?
- (John) Toujours, on ne sait jamais ce qui peut se passer.

Il entendit un grésillement à son oreille.

- (John) Mac Kay. Ici Sheppard, vous me recevez ?
- (Mac Kay) Major ? Ecoutez ce n’est vraiment pas le moment, libérez le canal. On a un problème technique avec une partie de la cité, et deux imbéciles sont coincés à l’intérieur.
- (John) Je suis un de ces imbéciles !
- (Mac Kay, étonné) Vous ?! Mais qu’est ce que vous faites là-bas ?
- (John) Déjà, je ne suis pas seul. On est deux ! et on est à cet endroit pour des raisons qui ne vous regardent pas !
- (Mac Kay) On ? Je peux savoir qui est la seconde personne ?


John jeta un coup d’œil à Elizabeth qui lui fit signe qu’il pouvait y aller.

- (John) Elizabeth.
- (Mac Kay) Elizabeth?
- (John, agacé) Le docteur Weir quoi !
- (Mac Kay, secouant la tête) Je sais qui est le Docteur Weir ! ce que je veux savoir, c’est ce que vous faites là-bas avec elle ?
- (John) Moi ce que je voudrais savoir c’est ce qu’il se passe ! dit-il désireux de détourner la conversation. On a une sorte de bouclier transparent qui coupe la salle en deux et dès que l’on approche, cela fait des étincelles. Au passage, il faudra penser à faire un enterrement pour l’assiette qui vient de rendre l’âme.
- (Mac Kay) Qu’est ce que vous racontez ?
- (John secouant la tête) Laissez tomber ! Qu’est ce que vous avez encore touché pour déclencher ce système ?
- (Mac Kay, protestant) Hey ! Je n’ai rien touché ! Moi j’étais tranquillement à manger au mess quand on m’a appelé.
- (Zelenka, intervenant) Je confirme.


John se massa les paupières quelques secondes afin d’essayer de retrouver son calme.

- (John) Très bien. Alors dites moi ce qu’il se passe ?
- (Mac Kay) Je n’en sais rien ! Il y a eu une sorte de bug informatique et le bouclier s’est déclenché…

Les yeux de Rodney s’agrandirent, comme à chaque fois qu’il avait un trait d’illumination.


- (Mac Kay) John, est ce que vous pouvez sortir de l’endroit où vous êtes ?
- (John, tournant sur lui même) Attendez, je vais voir.

Il s’approcha d’une porte qui s’ouvrit.

- (John) Je confirme, je peux sortir.
- (Mac Kay) Le bouclier transparent a été activé car nos ordinateurs, reliés à la console de la cité, ont sûrement repéré une anomalie dûe à la tempête.
- (Elizabeth) Vous êtes sûr ?
- (Mac Kay) A peu près certain.
- (John) Vous proposez quoi ?
- (Mac Kay) Major, vous allez, guidé du lieutenant Ford, chercher où est l’avarie. Si je comprends bien, vous ne pourrez sortir de là que seulement quand tout sera réparé.
- (John) Hey ! vous avez pensé à Elizabeth ?
- (Elizabeth, souriant) John, je suis coincée derrière un bouclier transparent, où voulez vous que j’aille ?
- (John) On ne sait jamais.
- (Mac Kay) Ne vous inquiétez pas Elizabeth. Pendant que John localisera la panne, je vais essayer de faire changer le bouclier de place pour vous sortir de là. Mais, je vous préviens qu’il risque d’être très instable et de changer souvent de place.
- (Elizabeth) Si cela ne vous dérange pas, j’aimerais bien sortir de là.
- (Mac Kay) Pas le moins du monde.
- (John) Bon quand vous aurez fini vos politesses on pourra commencer ?
- (Mac Kay) Major Sheppard, vous sortez de la pièce et ensuite vous prenez à droite.
- (John) Ok Compris.


John jeta un dernier regard à Elizabeth, qui lui sourit, puis sortit de la pièce.




Cela faisait à présent 10 minutes que John arpentait les couloirs, sous les ordres de Ford.

- (John) Mac Kay, comment cela se présente pour Elizabeth ?


Rodney, qui avait littéralement le nez collé contre la console, mit quelques secondes avant de répondre.

- (John, énervé) Mac Kay ?
- (Rodney) Oui ? Quoi ?
- (John) Comment ça se passe pour Elizabeth ?
- (Rodney) Ah normalement cela devrait (il poussa une plaque) Maintenant.

En effet le bouclier présent sur écran plasma se décala de façon à libérer la jeune femme de sa prison.

- (Rodney) Elizabeth vous m’entendez ? Normalement c’est bon, Zelenka va vous guider pour essayer de sortir de là sans rencontrer le bouclier, mais je ne vous garantis rien. Je n’ai pas pu enlever le fait que le bouclier change de place si souvent.
- (Elizabeth) Compris.

Il souhaita rajouter quelque chose, mais la voix de Sheppard lui vint aux oreilles.

- (Rodney, agacé) Quoi encore ? vous n’êtes pas assez grand pour suivre les instructions de Ford ?
- (John, menaçant) Vous tenez vraiment à savoir d’où vient la panne ?
- (Rodney) Vous l’avez trouvé ?
- (John) Elle est juste devant moi. On dirait une sorte de plate forme.
- (Rodney) Est ce qu’il y a une trappe sur cette colonne ?
- (John) Attendez je regarde (regardant) Oui il y en a une.
- (Rodney) Alors ouvrez la.


Sheppard s’exécuta, il ne put retenir une grimace quand il vit l’état de l’intérieur de la colonne.

- (John) Outchh…
- (Rodney) Vous savez que je n’aime pas quand vous dites outchh…
- (John) Le panneau de contrôle est complètement foutu.
- (Rodney) Essayez de le réparer.
- (John) Je ne suis pas mécanicien moi ! C’est vous le spécialiste de ces trucs là !
- (Rodney, levant les mains) Ok, ok, on se calme. Laissez moi réfléchir 5 secondes.


Rodney se mit à fixer intensément l’écran plasma quand son regard s’agrandit.


- (Rodney) Ford, on va au hangar à Jumper.
- (Ford, étonné) Ce n’est franchement pas le moment.
- (Rodney) Non loin de où est John, il y a une fenêtre, vous allez essayer de me faire atterrir le plus près possible.
- (Ford) Mais vous êtes dingue ! Vous avez pensez aux autres bâtiments ?
- (Rodney) Vous voyez une autre solution Ford ? Parce que moi, je n’en vois pas d’autres ! je suis le seul à savoir le réparer !
- (Ford) Ok, allons y avant que je ne change d’avis.
- (Rodney) Zelenka nous nous guiderez.
- (Zelenka) Ok, soyez prudent.


Après avoir tourné plusieurs minutes autour de la cité, ils finirent par repérer l’endroit où était Sheppard. Ford dû procéder à plusieurs tentatives avant d’arriver le plus près possible de la fenêtre.
Pendant ce temps, John faisait les cents pas dans la salle.

- (John) Zelenka, où est Elizabeth ?
- (Zelenka) Pas facile à dire en fait.
- (John, fronçant les sourcils) Comment cela pas facile à dire ?
- (Zelenka) Depuis que Rodney a touché au tableau de contrôle, le bouclier ne cesse de changer de place. Pour le moment, le Docteur Weir vient vers vous.
- (John) Bien reçu.


Un bruit retient son attention et il se retourna.

- (John) Ah vous voilà ! Qu’est ce que vous faisiez bon sang ?
- (Rodney) Du tourisme ! Si vous croyiez que c’est facile d’arriver jusqu’ici ! dit-il sur un ton sarcastique.
- (John) Excusez moi, je suis un peu à cran. Si vous n’y voyiez pas d’inconvénient, je vais aller voir si Elizabeth arrive.
- (Rodney) Je croyais qu’elle se dirigeait vers la sortie.
- (John) Pas d’après Zelenka. Dit-il en sortant
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MessageSujet: Re: 1 diner pas comme les aurtres   1 diner pas comme les aurtres Icon_minitimeSam 17 Fév - 19:27

John marchait d’un pas cadencé dans ces couloirs encore inconnus pour lui, avec la fâcheuse impression de tourner en rond.

- (John) Zelenka, vous êtes sûr que c’est par là ?
- (Zelenka) Affirmatif. Le docteur Weir arrive dans votre direction.

Il eut à peine fini sa phrase qu’Elizabeth apparut en visuel.

- (Elizabeth, souriant) Ah enfin un visage familier. Rappelez moi de faire prendre des cours d’orientation à Zelenka. Dit-elle en marchant dans sa direction.
- (John) Je n’y manquerai pas Elizabeth. Ca me fait plaisir de vous revoir.
- (Elizabeth) Moi aussi.

Alors qu’elle marchait en direction du jeune homme, celui ci vit un éclair bleu passer devant ses yeux.

- (John) Elizabeth ! N’avancez plus.


Mais hélas, la jeune femme n’entendit que trop tard la supplication de John et fonça directement dans le bouclier. Son corps fut parcouru d’éclairs bleus pendant une micro seconde, avant qu’elle ne tombe inerte sur le sol, devant les yeux apeurés de John.

- (John) Mon dieu ! Elizabeth ! Elizabeth vous m’entendez ?

Son regard vif, scruta le bouclier et les couloirs espérant trouver une faille, en vain.

- (John, empoignant son émetteur) Mac Kay où en êtes vous ?
- (Rodney) Je fais ce que je peux, je ne suis pas David Coperfield !
- (John) Tachez d’accélérer, le Docteur Weir vient d’être touchée par le bouclier.

John entendit Rodney dire « mon dieu » avant que la communication ne se brouille. Sans perdre une seconde, Sheppard contacta Zelenka sans lâcher une seconde Elizabeth du regard.

- (John) Zelenka, dès que Mac Kay a réparé dites à Beckett de venir tout de suite ! Weir est touchée.
- (Zelenka) Compris.




Les minutes qui séparèrent la réparation et l’arrivée de Beckett, semblèrent durer des heures à John. Il ne pouvait empêcher une angoisse terrible de lui nouer l’estomac…La peur de la perdre…La même que quand elle avait été au prise avec kolya…

Cette peur de la voir disparaître…De ne plus jamais la revoir…Qu’elle sorte de sa vie, aussi vite qu’elle y était entré…Jamais il n’aurait cru ressentir cela pour une femme…
Maintenant qu’il le ressentait, la perdre serait la chose la plus terrible qu’il aurait à affronter…

Quand le bouclier céda enfin, le jeune homme se précipita sur le docteur et la première chose qu’il fit, fut de prendre son pouls. Sheppard ne put retenir un ouf de soulagement quand il réussi à le trouver…Elle respirait…Il prit la jeune femme dans ses bras et la posa directement sur le brancard quand Beckett et son équipe arrivèrent.

Juste avant de l’emmener, Carson sentit une main se poser sur son bras. Il releva la tête et croisa le regard troublé de John…

John regarda l’équipe médicale s’éloigner le cœur légèrement plus léger. Il savait qu’avec le médecin, Elizabeth ne courait aucun danger. Sheppard fut rejoint quelques minutes plus tard par Rodney et tiré de ses pensées, quand il sentit la main de celui ci se poser sur son épaule.

- (Rodney) Allons y. j’aimerais pouvoir m’excuser.

John hocha la tête et partit, suivi de Rodney, en direction de l’infirmerie.


Une heure plus tard, toute l’équipe de jumper 1 attendait impatiemment les nouvelles qu’aillait apporter Beckett d’une minute à l’autre.
Teyla jeta un coup d’œil à John, qui était assis sur une chaise, les coudes sur les genoux les mains jointes. Il n’avait pas dit mot depuis qu’ils étaient arrivés il y’a ½ heure, mais la jeune femme le connaissait assez maintenant pour savoir qu’il se faisait du soucis.

Beckett sortit quelques secondes plus tard, sortant Teyla de ses pensées.

- (John) Alors ?
- (Beckett) Tout va bien, elle s’est réveillée il y a de cela 10 minutes. Elle a juste subit un grand choc, mais son organisme s’en est remis très vite, je préfère cependant la garder en observation cette nuit.
- (Ford) On peut la voir ?
- (Beckett) Bien sur, mais ne la fatiguez par trop.


Le petit groupe entra dans l’infirmerie, alors que la jeune femme essayait de sortir de son lit.

- (Beckett, d’un ton désapprobateur) Elizabeth…
- (Elizabeth, souriant) Carson, vous savez très bien que je hais rester allongée !
- (Beckett) Je le sais, mais c’est pour votre bien, regardez plutôt qui vient vous rendre visite.

Elle tourna la tête et sourit aux nouveaux arrivants, cependant son regard stoppa sur John qui avait la mine sombre. Rodney s’avança, et la jeune femme se mit à rire devant la mine scientifique.

- (Elizabeth) Désolé Rodney.
- (Rodney) Pas grave, cela me fait plaisir de voir que vous allez mieux…Je tenais à vous dire que je suis désolé pour ce qui vous est arrivé. C’est entièrement de ma faute, si je n’avais pas touché ces maudites plaques…
- (Elizabeth) Rodney ! Ce n’est pas de votre faute, vous croyiez bien faire c’est tout… Cela aurait pu arriver à chacun d’entre nous…

Cette phrase eut pour effet de rendre le sourire à Mac Kay, qui parti ensuite dans un long monologue sur comment il avait réparé la console. Il ne fut interrompu que par le Docteur Beckett qui annonça à tous qu’il était temps pour Elizabeth d’aller se reposer.

Elizabeth le remercia du regard, le petit groupe s’éloigna, mais elle interpella cependant John juste avant qu’il ne sorte.

- (John) Un problème Docteur Weir ?


Elle tiqua sur le Docteur Weir. Habituellement, quand il était seul, elle employait son prénom. Surtout que la jeune femme avait remarqué qu’il n’avait pas décroché un mot de tout le temps où il était avec les autres.

- (Elizabeth) Je voudrais vous demander un service.
- (John) Bien sûr, lequel ?
- (Elizabeth) Etant donné que je crois qu’il me sera impossible de m’échapper, vu que je suis étroitement surveillée. (John souria) J’aurais voulu savoir si vous accepteriez de prendre le commandement de la base demain. Le temps que je sorte.
- (John) Bien sûr.

Il tourna les talons et commença à s’éloigner, quand Elizabeth l’interpella de nouveau.

- (Elizabeth) John !?
- John, se retournant) Oui ?
- (Elizabeth, souriant) Merci de vous êtes montré si inquiet pour moi. Merci de m’avoir sauvée.

Elizabeth s’aperçut que son regard venait de changer, un nouvel éclat venait d’apparaître…peut-être celui du soulagement de s’être fait pardonner…

- (John) Pas de quoi…Vous savez que je serai toujours là…

Elle le remercia pour ces paroles et le regarda sortir le cœur beaucoup plus léger…



Le bip de sa montre indiqua à Elizabeth qu’il était 18HOO…Après moult négociations, la jeune femme avait réussie à obtenir sa libération, non sans avoir promis à Beckett qu’elle irait directement se reposer.

Etrangement, c’est ce qu’elle était en train de faire…Elizabeth se dirigeait vers ses quartiers…Après tout, John était encore aux commandes de la base jusqu'à minuit, et jusque là, il n’y avait pas eu d’ennuis…Alors pourquoi rester dans ses pattes…

Pourtant, une envie au fond de l’estomac la tiraillait…Elle mourait d’envie de savoir ce que John avait donné dans son rôle de commandant…Mais elle trouvait que cela était peut-être un manque de respect… Quelle ne fut pas sa surprise quand elle aperçut une silhouette familière qui faisait les cents pas devant ses quartiers. Celle ci stoppa net, John la remarqua au bout de quelque seconde, et lui adressa un grand sourire.

- (Elizabeth) Major, qu’est ce que vous faîtes là ?
- (John) J’ai appris que Beckett vous avait relâchée, alors je suis venu aux nouvelles.
- (Elizabeth, malicieusement) En faisant les cents pas devant mes quartiers ?
- (John) Je ne savais pas si vous dormiez ou non, alors je n’ai pas osé vous déranger.
- (Elizabeth, souriant) Vous ne me dérangez jamais Major. Alors cette journée ?
- (John, soupirant) épuisante. Je ne sais pas comment vous faites pour faire une somme de travail pareil en une seule journée !
- (Elizabeth) C’est juste une question d’entraînement.
- (John) Moi il me faudrait un an ! (lui tendant un dossier) Voici un rapport de tout ce qu’il s’est passé pendant cette journée.
- (Elizabeth) Merci. Je ne pensais pas du tout que vous m’en feriez un.
- (John) C’est bien normal, surtout après avoir été dans votre peau pendant 24H, si je puis dire.
- (Elizabeth) Je le lirai ce soir. (Le regardant) Vous avez mangé ?
- (John) Vous êtes sûre de vouloir encore dîner avec moi ? parce que cela a tendance à se transformer en… fiasco.
- (Elizabeth) Je suis sûre de vouloir dîner avec vous. Puis au mess on ne risque rien, non ?
- (John, réfléchissant) Je présume (lui tendant le bras) Allons y alors mademoiselle.
- (Elizabeth) Je vous suis monsieur.

C’est bras dessus, bras dessous qu’ils partirent en direction du mess.





Le repas avait duré plus longtemps que prévu, nos deux héros avaient hélas pour eux trouvés Mac Kay. Le scientifique était alors parti dans une de ces discussions qui l’opposait toujours à John : C’est à dire le football.

Ayant fait le tour de la question pendant près de 3HOO, et avoir remis John en place au moins trois fois contre 6, Rodney avait enfin daigné mettre fin à ce repas, prétextant qu’il avait assez perdu son temps et que des expériences l’attendaient. Sur ces mots, John avait cru l’étrangler si Elizabeth n’était pas intervenue.

Pour l’heure, tous deux marchaient vers les quartiers de la jeune femme.

- (John) Je crois que nous sommes arrivés dit-il en s’arrêtant.
- (Elizabeth, le regardant) Merci pour cette soirée.
- (John, Gêné) Elle aurait été beaucoup mieux si Rodney ne l’avait pas interrompu.
- (Elizabeth) Ce n’est pas grave, j’ai beaucoup aimé votre petite discussion, on dirait un vrai petit couple.
- (John) Arrr ne parlez pas de malheur.
- (Elizabeth, riant) Désolé…


Un long silence s’installa, tous deux se regardaient dans les yeux comme s’ils étaient seuls au monde. John brisa cet instant magique en prenant la parole.

- (John) Je tenais à m’excuser pour le dîner de l’autre soir, il était idéalement raté. De plus, vous avez faillie être blessée…
- (Elizabeth) Je ne l’étais pas…c’est cela le plus important… John, ce n’est pas grave je vous assure…

Il lui sourit timidement, et ses yeux s’agrandirent quand il vit la jeune femme se rapprocher de lui et poser ses lèvres sur sa joue.

- (murmurant à l’oreille) Bonne nuit John…

Il la regarda entrer dans ses quartiers le cœur au bord de l’exposition. Ne venait-elle pas de l’embrasser ?… Ce n’était que sur la joue mais quand même ! Elle l’avait embrassé. Son corps entier en frissonnait encore…
Elizabeth n’aurait pas fait cela à la légère s’il n’y avait pas autre chose… John devait être sûr…
Le jeune homme prit une grande respiration et entra dans les quartiers d’Elizabeth à sa suite. Celle ci se retourna, et quand elle croisa le regard si pénétrant de John elle crut défaillir… Bien sûr avec ce baiser, elle avait essayé de lui faire comprendre le message, mais maintenant, devant le fait accompli elle n’en était plus si sûre…

Sheppard s’approcha d’elle si près que leurs souffles se mêlèrent, il posa ses deux mains sur la taille de la jeune femme et l’attira à lui. John la regarda dans les yeux, et après n’avoir lu aucune désapprobation, il combla enfin la courte distance qui les séparait…

Ce fut un baiser timide au début, puis de plus en plus passionné par la suite…Leurs lèvres s’entrouvrirent et quand leur langues se rencontrèrent une sensation de vertige les prit tous les deux et un long frisson les parcoura…Chacun goûtait, caressait les lèvres de l’autre, se faisant plus complice que jamais…

C’est tout en continuant à s’embrasser qu’ils arrivèrent jusqu’au lit, où ils tombèrent plus qu’il ne s’allongèrent…
John regarda Elizabeth dans les yeux, il voulait être sûr que la jeune femme souhaitait aller plus loin…Il ne voulait pas la forcer…
Quelle ne fut pas sa surprise quand il pu y lire tant d’amour, tant de désir…jamais encore il n’avait vu autant de chose dans son regard…

Elizabeth combla la courte distance qui les séparait et reprit ses lèvres avec passion…Leurs mains caressaient le corps de l’autre avidement…
Les mains d’Elizabeth se glissèrent sous le T-Shirt de John. Celui-ci tressaillit en sentant les doigts de la jeune femme effleurer son dos pour le caresser plus franchement par la suite…Le T-Shirt finit au sol…

Elle le voulait lui, son corps à lui dans son corps… John détacha ses lèvres de celles de la jeune femme pour descendre le long de son visage, puis de son cou en la faisant gémir…Sa main vint se couler sous son T-shirt, qui tomba au sol, suivit de son soutien gorge… John plongea sur la poitrine dénudée d’Elizabeth, mordant, goûtant les pointes fièrement dressées, alors qu’Elizabeth s’agrippait, se cambrait un peu plus à ce contact…

- (Elizabeth, dans un souffle) John…

Il quitta ses seins pour remonter le long de son cou, laissant vagabonder sa langue de-ci de-là…John semblait être partout à la fois et Elizabeth avait l’impression d’avoir le corps en feu… Le reste de leurs vêtements rejoignit bientôt le sol…Ils étaient maintenant nus l’un sur l’autre…
John lui mordilla l’oreille, pendant que sa main droite glissait le long de son corps, et s’insinuait en elle avec une lenteur despérée…

- (John) Elizabeth…

Sheppard repris ses lèvres avec passion…Les mains d’Elizabeth parcouraient, griffaient ce corps si musclé, si beau…Elle se cambra un peu plus et pu sentir contre elle son désir.

La jeune femme s’ouvrit alors pour l’accueillir et sans qu’elle n’ait eu le temps de comprendre, il était en elle…Leur arrachant un gémissement de plaisir. Son compagnon commença son lent va et vient, admirant sous ses doigts la souplesse, la douceur de ce corps.

- (Elizabeth) John. Supplia t-elle en se cambrant un peu plus vers lui.


John répondit à ces plaintes en glissant un peu plus profond en elle, accélérant son va et vient…Une douce sensation les envahissait, si magique…Sheppard reprit ses lèvres avec passion, mettant dans ce baiser tous ses sentiments…Elizabeth agrippa sa nuque pour approfondir ce contact, alors que le mouvement des hanches de John était à son paroxysme.

La jeune femme se cambra dans un dernier spasme, avec l’impression qu’une vague déferlait en elle, dévastant tout sur son passage…John la rejoignit bientôt dans les délices de la jouissance…Ils gémirent en même temps, lèvres contre lèvres, le cœur au bord de l’explosion…

Ils étaient tous les deux en sueur…La tête de son amant retomba sur sa poitrine, qui se soulevait au rythme de sa respiration.
John l’embrassa très délicatement, puis bascula sur le coté, entraînant la jeune femme avec lui. Celle ci vient se blottir un peu plus contre lui en fermant les yeux…

- (John) Je t’aime murmura t-il juste avant que le sommeil ne vienne le prendre.


La nuit avait pris place à présent sur atlantis, plongeant la cité dans le sommeil. Pourtant, nos deux amants eux ne dormaient plus… Ils étaient enlacés sur le balcon…

- (Elizabeth) Que va t-on faire quand les autres vont l’apprendre ?
- (John fronçant les sourcils) Je ne vois pas où est le problème ! Nous sommes tous les deux des adultes consentants, responsables de la cité, sans haut commandement pour nous dire quoi que se soit…
- (Elizabeth) On pourrait m’accuser de favoritisme…
- (John) Il faudra juste être un peu discret… (la retournant, sérieusement) Liz, je t’aime, je ne veux pas te perdre…alors si tu veux que…que l’on arrête j’essayerai oublier…
- (Elizabeth, souriant) Mais non idiot !
- (John, souriant) Tu crois que c’est possible d’être discret avec Mac Kay ? Il risque de se douter de quelque chose.
- (Elizabeth) Je crois que tu sauras t’en occuper s’il pose trop de questions.


Il regarda la jeune femme un instant et éclata d’un rire franc, qui fut bientôt rejoint par celui d’Elizabeth…Leurs rires montèrent vers le ciel…Ils n’étaient plus seuls à présent, l’avenir ils ne le voyaient plus qu’à deux…


FIN
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